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Le contre-temps de jeudi n'aura pas empêché la mesure phare du projet de loi des finances (PLF) 2017 d'être adoptée. Les députés ont voté vendredi 18 novembre au soir en faveur de l'instauration du prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu à partir de janvier 2018.

Le taux de l'année passée mais les revenus de l'année en cours

La réforme prévoit qu'à partir du 1er janvier 2018 l'impôt sera calculé sur les revenus de l'année en cours et non plus sur les revenus de l'année précédente. Ce montant sera prélevé directement sur les salaires ou les pensions de retraite. C'est donc un tiers - l'employeur ou la caisse de retraite - qui collectera l'impôt.

L'administration fiscale calculera le taux de prélèvement selon les revenus de l'année précédente. Celui de janvier 2018 sera communiqué aux employeurs ou autres organismes collecteurs de l'impôt fin 2017.

Le contribuable pourra opter pour un taux neutre ou individualisé afin que son employeur ne puisse pas "deviner", d'après son taux de prélèvement, le niveau de ses autres revenus ou de ceux de son conjoint. Ce taux pourra être ajusté en cours d'année en cas d'évolution de revenu (augmentation de salaire, départ en retraite, perte d'emploi...) ou de changement de situation familiale.

Pas d'année blanche

Comme les contribuables s'acquitteront en 2017 de l'impôt sur les revenus de 2016 et en 2018 de l'impôt sur les revenus de 2018, ceux de 2017 ne seront donc pas imposés. Les revenus exceptionnels et les réductions ou crédits d'impôt de cette "année blanche" seront pris en compte en 2018, pour éviter les manques à gagner ou des effets d'aubaine.

Les députés ont voté vendredi des amendement pour exclure du champ de ces revenus exceptionnels imposables les indemnités de fin de CDD et de mission d'intérim. En revanche, les primes de bienvenue "golden hello" ou de départ versées en 2017 seront bien considérées comme des revenus exceptionnels tout comme les primes

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Quel avenir pour l'appareil photo ? La question se pose à l'heure où les constructeurs de smartphones rivalisent pour intégrer des capteurs et optique photo de plus en plus évolués. C'est le cas d'Apple avec son iPhone 7, Samsung avec son Galaxy S7 ou encore Huawei avec l'étonnant Mate 9 développé en collaboration avec Leica. Alors que reste-t-ils aux grands acteurs de la photo? Au delà, quel est le meilleur photophone du marché ?

 


ORLM-244 : iPhone 7, Galaxy S7, Mate 9, quel... par OnrefaitleMac

 

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La marque automobile allemande

Volkswagen a annoncé, vendredi 18 novembre, la suppression d'environ 30 000 emplois dans le monde, dont 23 000 en Allemagne, dans le cadre d'un plan visant à renouer avec la rentabilité. L'objectif est aussi de mettre l'accélérateur sur l'électrique.

Des économies de 3,7 milliards d'euros par an

"La marque Volkswagen ne rapporte pas assez d'argent", a déclaré son patron Herbert Diess, lors d'une conférence de presse au siège de l'entreprise à Wolfsburg. Il a également annoncé vouloir faire des économies qui s'élèveront à 3,7 milliards d'euros par an d'ici 2020.

Volkswagen entend ainsi doper sa rentabilité et mettre derrière lui le scandale des émissions de ses véhicules diesel en investissant massivement dans les voitures électriques et les véhicules autonomes. L'accord obtenu avec les syndicats prévoit un augmentation de 25% de la productivité dans les usines allemandes, a annoncé le constructeur lors d'une conférence de presse.

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Après l'immense succès du jeu, le souffle est retombé : l'application a perdu les deux tiers de ses joueurs. Mais les mises à jour entretiennent la flamme et les revenus restent très élevés. L'éditeur veut entrer dans la cour des grands jeux en ligne.

 

Vous ne croisez plus ces grappes de joueurs, le nez collé à leur smartphone, en train d’arpenter les parcs ou de courir tout à coup vers le point invisible d’un bête trottoir. Vos enfants ne prononcent plus de mots bizarres comme «Goupix», «Mélodelfe» ou «Smogo». Le fait est établi : le nombre de connexions à l’application Pokémon Go a chuté depuis son lancement au début des grandes vacances. L’édition américaine du site Variety comptabilisait 40 millions d’utilisateurs actifs par semaine en juillet, moins de 15 millions à la mi-octobre. La baisse est veritigineuse, à la hauteur du fol effet de mode suscité par la découverte qu’un Roucool pouvait apparaître sans prévenir sur le fauteuil de votre salon.

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Tout cela n’empêche pas Niantic, l’éditeur américain du jeu, d’afficher un optimisme sans faille. A l’occasion de sa venue en Europe pour le Web summit de Lisbonne début novembre, le chef du marketing de l’entreprise, Mike Quigley, a promis un avenir radieux à ses monstres colorés. Pokémon Go a atteint les 500 millions de téléchargements, a-t-il rappelé à Eurogamer. Et les utilisateurs ont déjà marché 3 milliards de kilomètres avec l’application allumée (plus vous marchez, plus vous faites avancer l'incubation d’œufs de Pokémon).

Pikachu aux œufs d’or

Surtout, l’homme a affirmé lors de la même interview que son application ne jouait pas dans la cour des jeux classiques disponibles sur mobile, comme Candy Crush ou Angry Birds. Mais qu’elle devait être désormais considérée comme un MMORPG («jeu de rôle en ligne massivement multijoueur») à part entière. Les MMORPG, ces jeux en ligne qui occupent les soirées des gamers, interminables – il n'y a (...)Lire la suite sur Liberation.fr