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Supermarchés: la bataille des centres villes

Face à la prolifération des grandes enseignes de la distribution en centres-villes, les petites épiceries de quartiers peinent à tenir la distance. En dix ans, le nombre de ces supermarchés a augmenté de 76%. Le challenge, proposer un maximum de choix dans un minimum de place, pour atteindre une clientèle à la fois citadine et familiale.

Source Youtube :

Moi je trouve c'est bien car dans les épiceries ont se fait un peu beaucoup carotte quand-même une épicerie pas loin de chez moi fait ces course a Leclerc j'ai comparé les prix sur des articles que je prend exemple sur les gaufres fourré a la vanille c'est 2,80€ a Leclerc pour un lot de 3 paquet a l'épicerie il vendait 1 paquet 2,70€ donc sur un lot de 3 paquet il gagnait 5€ passé ! Bref pareil pour d'autres articles toujours le triple mayo c'est 0,50 centimes un tube a Leclerc lui le vend 1,90€ ... Et la liste et longue sur chaque article ils se fait entre 2 à 5/7€ de bénéfices sur chaque produit ! Bref aujourd'hui j'ai était a Monoprix vu férié sinon je fais mes course à Leclerc et à Monoprix exceptionnellement aux jours fériés ( comme aujourd'hui ) pi avec l'augmentation des prix sur TOUT ( manger , tabac , essence ... ) Donc normal qu'on va aux moins chère sinon on mangerai pas l'autre moitié du mois trop trop chère en épiceries mais c'est abusé je n'y vais même plus !

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En matière de cryptomonnaies, le Bitcoin est non seulement la pionnière mais également celle disposant de la plus grande capitalisation. Alors qu'en 2009 1 Bitcoin valait moins de 100 euros, il a récemment atteint la valeur de 50 000 euros. De quoi se demander s'il ne faudrait pas investir.

Faciliter les échanges sans intermédiaire, c'est le but du Bitcoin depuis sa création par Satoshi Nakamoto. Pour créer de la rareté et de la valeur, l'homme a affirmé qu'il n'y aura pas plus de 21 millions de Bitcoins qui seront produits.

Il y a une dizaine d'années, il était encore possible de miner des Bitcoins grâce à la puissance de calcul de son ordinateur. Aujourd'hui, alors que la valeur de cette cryptomonnaie ne cesse d'augmenter et que le nombre disponible se raréfie, le minage demande une puissance bien trop élevée et le meilleur moyen d'investir est encore d'échanger vos euros pour acquérir un ou une partie d'un Bitcoin déjà miné.

Acheter des bitcoins en créant un porte-feuille virtuel

Pour acheter des Bitcoins, le plus simple est encore de passer par une plateformes d'échange. Celles-ci sont nombreuses, tout comme les arnaques. Il est donc primordial d'être vigilant, de bien se renseigner (sur Cryptoast.fr par exemple), et surtout de privilégier les services reconnus. Parmi les plus populaires citons Etoro et Coinbase, des plateformes abordables aux novices également disponibles sous la forme d'une application mobile.

Une fois votre compte créé sur Etoro, vous disposez d'une passerelle sécurisée pour effectuer vos investissements vers diverses crypto-monnaies, 14 au total, mais également sur des titres boursiers. Il est alors possible de configurer votre carte de crédit, votre compte bancaire mais également un compte Paypal. Ce dernier permettra notamment de récupérer de l'argent rapidement si vous souhaitez revendre vos Bitcoins après avoir réalisé un gain.

De son côté Coinbase est strictement axé sur la cryptomonnaie et sa prise en main est encore plus simple que sur Etoro...

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Aides Covid-19 : Suite à l’annonce d’un confinement national, plusieurs mesures d’urgence ont été mises en place pour aider les entreprises, les indépendants et les entrepreneurs :

LE FONDS DE SOLIDARITÉ

La demande d’aide pourra être formulée à partir de début décembre sur le site impots.gouv :

-          Cas 1 : votre entreprise ou commerce a fait l’objet d’une fermeture administrative :

  • Indemnité jusqu’à 10 000€ mise en place pour compenser la perte de votre chiffre d’affaire
  • Pour toutes les entreprises de moins de 50 salariés
  • Peu importe le secteur d’activité ou la situation géographique

-          Cas 2 : votre entreprise reste ouverte, concerne le secteur du tourisme, de l’événementiel, de la culture et du sport :

  • Indemnité jusqu’à 10 000€ mise en place pour compenser la perte de votre chiffre d’affaire
  • Si vous subissez une perte de chiffre d’affaires d’au moins 50% par rapport à novembre 2019
  • Pour toutes les entreprises de moins de 50 salariés

-          Cas 3 : votre entreprise d’un secteur autre que ceux du cas 2 reste ouverte mais est impactée par le confinement :

  • Aide du fonds de solidarité pouvant aller jusqu’à 1500€ par mois
  • Si vous subissez une perte de chiffre d’affaires d’au moins 50% par rapport à novembre dernier
  • Permettra de soutenir les indépendants

PRÊT GARANTI PAR l’ÉTAT

Le dispositif est adapté pour répondre à l’évolution de la situation sanitaire et économique :

-          Le prêt peut être contracté jusqu’à juin 2021

-          L’amortissement de l’emprunt pourra être étalé entre 1 et 5 ans supplémentaires

-          Des taux négociés pour les PME avec les banques françaises compris entre 1 et 2,5%

-          Le différé de remboursement pourra être augmenté d’un an supplémentaire, soit 2 ans au total

-          Vous devrez vous rapprocher de votre banque habituelle pour contracter ce prêt

PRÊT DIRECT DE L’ÉTAT

Si vous n’avez  pas trouvé de solution de financement avec votre banque, l’État pourra directement vous accorder un prêt :

-          Jusqu’à 10 000€ pour les entreprises de moins de 10 salariés

-          Jusqu’ 50 000€ pour les entreprises de 10 à 49 salariés

-          Il faudra pour cela vous rapprocher directement du Codefi de votre département, dont les coordonnées sont disponibles sur le site : https://www.impots.gouv.fr/portail/professionnel/ccsf-et-codeficiri

CHÔMAGE PARTIEL

Le dispositif de chômage partiel sera prolongé jusqu’au 31 décembre :

-          Chômage partiel avec un reste à charge nul pour les entreprises des secteurs protégés (tourisme, événementiel, culture et sport) et celles qui font l’objet d’une fermeture administrative

-          Chômage partiel avec un reste à charge de 15% pour les autres entreprises

COTISATIONS SOCIALES

L’exonération des cotisations sociales concernera :

-          Les entreprises de moins de 50 salariés qui font l’objet d’une fermeture administrative

-          Les entreprises des secteurs protégés qui subissent une perte de chiffre d’affaires supérieure ou égale à 50% par rapport à novembre 2019

-          Pour les travailleurs indépendants :

  • Exonération des charges sociales en cas de fermeture administrative
  • Suspension temporaire des prélèvements sociaux pour les autres travailleurs indépendants

AUTRES

Les différentes aides supplémentaires mises en place sont :

-          Crédit d’impôt égal à 30% de la partie des loyers annulés par les bailleurs qui louent à des commerces fermés administrativement

-          La possibilité de rééchelonner les crédits bancaires à l’aide du médiateur de la banque de France à contacter sur : https://mediateur-credit.banque-france.fr/

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Echaudés par plusieurs retournements de marché, les Français restent circonspects vis-à-vis du placement en actions.

C’est pour le moins un paradoxe. Les marchés financiers ont certes battu de nouveaux records en 2019. Pour autant, les sociétés ne semblent pas pressées de s’introduire en Bourse. L’année a cependant été marquée par la plus importante Initial Public Offering (IPO) de l’histoire. Aramco a ainsi fait ses premiers sur les marchés, le 11 décembre. Le géant pétrolier saoudien a levé 25,6 milliards de dollars (23 milliards d’euros), dépassant le précédent record détenu par le groupe chinois de commerce en ligne Alibaba (25 milliards de dollars en 2014, lors de son entrée à Wall Street).

Le fleuron du royaume wahhabite est valorisé à 1 700 milliards de dollars, loin devant Apple (1 200 milliards), Microsoft (1 140 milliards) et Alibaba (1 051 milliards). « Cette opération n’est pas vraiment significative de ce qui se passe sur les marchés. Elle était attendue depuis plus de deux ans et avait dû être reportée plusieurs fois », relativise Malik Haddouk, directeur de la gestion diversifiée chez CPR Asset Management.

Dans l’Hexagone, de manière beaucoup plus modeste, la Française des jeux (FDJ) a levé 1,826 milliard d’euros lors de sa privatisation, le 21 novembre, ce qui représente la plus importante introduction en Bourse en France depuis celle de Natixis, en novembre 2006 (4,2 milliards d’euros). Au total, « un demi-million de personnes » ont participé à la souscription, s’était félicité, quelques jours plus tôt, le ministre de l’économie et des finances, Bruno Le Maire. « Ce succès marque la réconciliation des Français avec l’économie, les marchés, les entreprises ; une réconciliation nécessaire après la crise financière de 2008 », avait-il estimé.

Faiblesse des taux d’intérêt

Cependant, l’intérêt qu’ont manifesté les épargnants pour la FDJ reste très en deçà du succès des introductions en Bourse antérieures à la crise financière : il y a treize ans, Natixis avait séduit 2,8 millions de particuliers. Quant à EDF, il en avait attiré environ 5 millions en novembre 2005. Un record. Echaudés par plusieurs retournements de marché, les Français se sont détournés de la Bourse et restent circonspects vis-à-vis du placement en actions.

En 2019, Euronext, qui gère entre autres les places de Paris et d’Amsterdam, a recensé 43 introductions, contre 65 en 2018

Les entreprises elles-mêmes sont elles aussi moins attirées par la Bourse qu’auparavant. De fait, Euronext, l’entreprise qui gère les places de Paris, d’Amsterdam, de Bruxelles, de Lisbonne – et, depuis cette année, d’Oslo –, a recensé 43 introductions en 2019, contre 65 en 2018. Les montants levés sont néanmoins comparables (respectivement 4,7 milliards d’euros en 2019 et 4,9 milliards d’euros en 2018).


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