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Ce week-end, les ministres du Commerce du G20 se sont réunis à Shanghai. Inquiets par les turbulences du Brexit, ils souhaitent doper le commerce pour soutenir l'économie.

Ce dimanche, les ministres du Commerce du G20, réunis à Shanghai, se sont dits résolus à doper les échanges internationaux pour stimuler une économie à la peine. Cependant, ils s'inquiètent de la montée des barrières protectionnistes - surtout parmi eux -, des surcapacités sidérurgiques, et des risques associés au Brexit.

"La reprise économique mondiale se poursuit, mais elle demeure inégale (...)lire la suite sur Atlantico
Le commerce et l'investissement doivent rester les moteurs essentiels de la croissance mondiale", ont assuré dans une déclaration finale les ministres et délégations des vingt grandes puissances. En effet, le contexte est maussade. Le rythme de progression des échanges commerciaux internationaux s'est effondré dans le sillage de la crise financière, pour stagner désormais sous 3% par an depuis 2009, contre plus de 7% en moyenne lors des deux décennies précédentes.


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Alors que la tendance est négative depuis des semaines sur les banques et les assurances, le Brexit continue de faire peser de nombreux doutes sur les marchés.

Le Brexit continue de faire peser de nombreux doutes sur les marchés. Nous avons déjà constaté à maintes reprises qu’un choc de ce type avait deux conséquences : casser une dynamique positive mais aussi enfoncer un peu plus des secteurs ou des entreprises déjà fragilisés. C’est clairement ce qui se passe pour le secteur financier.

La tendance est négative depuis des semaines sur les banques et les assurances. Les raisons de la défiance sont nombreuses.

1- Les taux négatifs pèsent sur les marges

2- L’activité économique reste modérée, de ce fait les demandes de crédit sont plus faibles.

3- Les doutes subsistent sur la qualité des bilans des banques.

 

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Habitat en terre rimait jusqu'il y a peu avec pauvreté. Mais l'heure est à la réhabilitation d'un mode de construction dont on célèbre désormais les qualités écologiques.

Du 11 au 14 juillet, la 12e édition du congrès Terra, organisée à Lyon sous l'égide de l'Unesco, sera l'occasion de présenter des projets architecturaux innovants faisant appel à cette matière première abondante, résistante et recyclable à l'infini.

357 équipes venues de 67 pays vont concourir aux prix Terra Awards qui seront remis lors du congrès. Une participation exceptionnelle qui a surpris jusqu'aux organisateurs, reconnaît la coordinatrice de la compétition, Dominique Gauzin-Müller.

Un tiers de la population mondiale, sur tous les continents et sous toutes les latitudes, habite aujourd'hui dans des maisons en terre, fait valoir l'organisateur du congrès, le laboratoire CRATerre de l'Ecole nationale d'architecture de Grenoble, une des références mondiales du secteur.

Sait-on que des portions entières de la Grande muraille de Chine sont en terre ? Le magnifique château de Vaugirard (Loire), monument historique du 17e siècle, est lui complètement fait de pisé. Et 135 des oeuvres architecturales inscrites au patrimoine mondial de l'Humanité sont construites en adobe, pisé, torchis ou bauge, soit 15% du total.

 


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Les créations d'emplois aux Etats-Unis ont rebondi de façon spectaculaire en juin, dépassant largement les prévisions, tandis que le taux de chômage a légèrement augmenté, selon les chiffres du département du Travail publiés vendredi.

L'économie a créé 287.000 emplois nets, le meilleur score mensuel depuis octobre, après une quasi-stagnation en mai. Les analystes ne prévoyaient que 175.000 nouvelles embauches.

Le taux de chômage est passé de 4,7% à 4,9%, à la faveur d'une hausse du taux de participation à l'emploi. Les analystes tablaient sur 4,8%.

Cette performance est de nature à rassurer les marchés sur l'état de l'économie américaine après la frayeur du mois de mai.

Selon l'estimation révisée du gouvernement, les entreprises n'avaient créé que 11.000 nouveaux emplois en mai (contre 38.000 précédemment estimés). Cette déception avait notamment conduit la Réserve fédérale (Fed), également soucieuse des effets du vote britannique sur le Brexit, à renoncer en juin à relever ses taux d'intérêt.

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