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La lâcheté peut s'avérer monstrueuse : cet homme lançant à vive allure un camion contre une foule en fête, ou encore ces deux individus armés d'armes blanches poignardant un prêtre âgé, célébrant une messe dans un quasi huis clos.
Ces actes fous n'ont d'autre but que de semer la peur, de terroriser ; ils suscitent une juste colère sans briser la fraternité qui, au contraire, se déploie. Qui aurait pensé que le culte musulman invite les imams et les fidèles à rejoindre les chrétiens dans leurs églises et réciproquement.
Alors que la cohésion sociale est déjà bien lézardée, un espoir se fait jour.
Quel contraste entre ces lâches qui, incapable d'affronter la vie, fuient, exaltés, inhibés par des drogues, et ce peuple souffrant gardant un magnifique sang-froid, attentif à son unité. Des différences légitimes s'expriment mais la vive conscience du tragique est mobilisatrice d'une détermination à vivre ensemble pour faire face à d'autres risques, peut-être d'autres drames.
La résignation n'a pas de place. Il s'agit d'entrer en résistance au sens de créer de nouvelles alternatives pour ne point sombrer dans un fatalisme mortifère ou dans une peur destructrice de sens ; la bête immonde doit être vaincue pour que les valeurs d'humanité ne soient pas humiliées.
Nous ne capitulerons ni ne fuirons devant un tel ennemi. La liberté ne se négocie pas, il s'agit de la défendre. Chaque génération la reçoit en lui offrant si nécessaire le tribut de la vie pour qu'elle ne s'assombrisse point.
Soyons présents sur les lieux engluant l'espoir. Ensemble, nous ne voulons pas fermer les yeux, encore moins ceux du cœur. Que se lèvent des "petits princes" qui, sans se payer de mots ou de formules incantatoires, agissent dans cette conviction que, seule, la fraternité protège.
A Cracovie, le pape François demandait à la jeunesse des six continents
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Le groupe coopératif normand Agrial a annoncé lundi l'acquisitiondu fabricant britannique de betteraves prêtes à consommer Axgro Foods, via sa filiale de salades prêtes à l'emploi Florette au Royaume-Uni.
Cette acquisition, dont le montant n'est pas précisé, "permet à Florette UK et Irlande d'élargir son portefeuille produits sur un segment de marché très porteur au Royaume-Uni", souligne Agrial dans un communiqué, précisant que les ventes de betteraves prêtes à consommer ont augmenté de 20% outre-Manche "au cours de ces dernières années".
Les produits d'Axgro Foods, commercialisés sous la marque The Lincolnshire Beetroot Company, seront fournis "aux clients anglais et ultérieurement des autres pays européens", ajoute le groupe.
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Le prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu, qui doit entrer en vigueur au 1er janvier 2018, ne sera pas remis en cause après la présidentielle 2017, a assuré le secrétaire d'Etat au Budget Christian Eckert dans un entretien à paraître dimanche.
Pour François Bayrou, président du MoDem, "c'est une bonne idée parce que cet impôt à la source, il permettra que tous les contribuables se sentent plus légers face à l'impôt et que quand de l'argent rentre à la fin du mois, ce soit de l'argent net d'impôt".
Un avis que ne partage pas Eric Woerth, secrétaire général LR, ancien ministre du Budget, qui y voit "une erreur, tant pour la confidentialité (des contribuables, ndlr) que pour les entreprises elles-mêmes".
"Nous prenons les dispositions nécessaires pour que cette réforme entre en vigueur en 2018", a déclaré Christian Eckert dans les quotidiens régionaux du groupe Ebra.
"Je suis persuadé que personne ne reviendra sur cette réforme, parce qu'elle est souhaitée par les Français, et qu'elle est souhaitable, juste et moderne", a-t-il ajouté.
Une présentation par M. Eckert du projet de prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu, prévue mercredi en Conseil des ministres, avait dû être reportée en raison de l'attentat dans l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray.
Ce projet consiste à ce que l'impôt sur le revenu soit prélevé par l'employeur, sur la base d'un taux d'imposition calculé et transmis par l'administration fiscale.
Les revenus seront ainsi directement taxés chaque mois au titre de l'année en cours et non plus au titre de l'année précédente.
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Selon l'Insee, le produit intérieur brut (PIB) est resté stable en France alors qu'il était attendu en hausse de 0,3 %.
Ce vendredi 29 juillet, l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a annoncé que l’activité économique a stagné au deuxième trimestre en France. L’évolution du produit intérieur brut (PIB) a été nulle, alors qu’il était attendu en hausse de 0,3 %. Par ailleurs, l'Insee a révisé légèrement à la hausse la croissance du premier trimestre, à + 0,7 % contre + 0,6 %.
Le ministère des Finances a jugé que le chiffre du deuxième trimestre était " décevant au regard des prévisions en particulier de l'Insee et de la Banque de France ", qui tablait, elle, sur une croissance de 0,2 %. Mais il a aussitôt assuré que l'économie française restait sur une " dynamique de reprise " et que la croissance nulle du deuxième trimestre ne remettait " pas en cause la prévision de croissance de 1,5 % en 2016 ". D'ores et déjà, l'acquis de croissance - autrement dit la progression du PIB en cas de croissance nulle sur le reste de l'année - s'établit à 1,1 %, selon l'Insee.
La consommation des ménages a stagné
D’ores et déjà, l’acquis de croissance – autrement dit la progression du PIB en cas de croissance nulle le reste de l’année – s’établit à 1,1 %, selon l’Insee. Moteur traditionnel de croissance dans l’Hexagone, la consommation des ménages a stagné au deuxième trimestre, après avoir été dynamique au premier (+ 1,2 %). Les dépenses de consommation alimentaire ont notamment nettement reculé, de 0,7 % après + 0,4 % les trois premiers mois de l’année, et la consommation en services a baissé de 0,1 % contre + 0,7 %, " contrecoup après l’achat des billets de l’Euro 2016 de football au premier trimestre " et résultat de l’" infléchissement des dépenses en hébergement-restauration (...)lire la suite sur Atlantico