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Un cercueil en tête de cortège, comme un cri d'alarme pour protester contre la mort de leur entreprise. Logo, c'est l'un des fleurons de la lunette. L'entreprise, basée à Morez, dans le Jura, s'est spécialisée dans le luxe made in France. Mais son principal client, LVMH, qui assurait 90% des commandes, a décidé de mettre fin à son contrat, les 220 salariés sont menacés, ainsi qu'autant de sous-traitants.
Dans le Jura, l'industrie de la lunette a déjà perdu beaucoup d'emplois, et les élus dénoncent l'indifférence des pouvoirs publics. "Le gouvernement qui a réagi violemment suite à l'annonce d'Alstom, à Belfort, la semaine dernière, c'était 400 salariés. Imaginez la proportion à Morez, 250 salariés dans une ville de 7 000 personnes", indique Marie-Christine Dalloz, députée Les Républicains du Jura.
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Comme son concurrent PSA, Renault veut renégocier son accord de compétitivité signé en 2013 et lance jeudi les discussions avec les syndicats, déterminés à recentrer les débats sur les conditions de travail et la rémunération, après trois ans d'efforts des personnels.
Le constructeur, qui a mis en place des groupes de travail dès le mois de mai pour préparer ces négociations, a fixé l'objectif d'aboutir mi-décembre, à raison d'au moins une séance tous les quinze jours.
Dès février, le PDG Carlos Ghosn avait annoncé son souhait de "refaire un contrat de compétitivité" sur la période 2017-2019, avec "des engagements de part et d'autre", "très clairs", "assumés" et qui "garantissent une paix sociale".
Selon le texte de cadrage des discussions consulté par l'AFP, le futur accord visera à "définir les conditions et moyens permettant d'assurer l'avenir de Renault en France" dans la "poursuite" de l'accord de 2013 signé par trois syndicats (CFE-CGC, CFDT et FO).
Mais cette fois, la négociation s'annonce plus ouverte pour les syndicats car l'entreprise a redressé la barre.
Début 2013, confronté comme tous les constructeurs à une chute des ventes en Europe, Renault menaçait de réduire la voilure. En échange d'un maintien de tous les sites en France jusqu'à fin 2016, les syndicats avaient accepté des efforts conséquents: réduction de 15% des effectifs, augmentation du temps de travail, plus de mobilité et de flexibilité, gel des salaires la première année.
Lire la suite : Renault veut un nouvel accord social, lance les négociations jeudi
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Samsung a commencé lundi à distribuer de nouveaux Galaxy Note 7 en Corée du Sud en échange de ceux dont la batterie est susceptible d'exploser, mais rares étaient les clients à se présenter dans les magasins de Séoul pour récupérer le terminal de remplacement.
Le géant sud-coréen a annoncé il y a deux semaines le rappel de 2,5 millions d'exemplaires de ce qui devait être un de ses produits phare, en raison de batteries défectueuses qui ont littéralement carbonisé certains appareils.
Les consommateurs ont boudé l'offre du premier fabricant mondial de smartphones, qui se proposait de leur fournir temporairement un autre modèle de téléphone, le temps que soient produits les Galaxy Note 7 de substitution.
Lundi, les habitants de Séoul ne paraissaient pas non plus pressés de récupérer le nouveau modèle.
La réussite de cette vaste opération de rappel est jugée capitale pour la crédibilité de Samsung, et son image de marque, dans un contexte de très forte concurrence avec le grand rival Apple dans le haut de gamme, et avec les fabricants chinois dans le bas de gamme.
Lire la suite : Batteries explosives: Samsung distribue en Corée du Sud ses nouveaux Note 7
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Ces 3 cas d’investissement sont très différents et font l’objet de nombreux commentaires ces derniers temps. Un rappel utile avant de poursuivre : nous raisonnons ici pour un investisseur long-terme dont le portefeuille est déjà bien diversifié, la spéculation n’est pas de mise ici !
Les marchés sont rattrapés par le doute depuis quelques jours. Nous redoutions que le mois de septembre soit une fois de plus incertain…. C’est le cas. Hausse des taux aux Etats-Unis, baisse des Yuan Chinois, référendum en Italie, incertitude sur la croissance mondiale… ont semé le trouble chez l’investisseur et provoqué un repli des marchés actions.
Comme souvent ces périodes de fluctuations sont autant d’opportunités d’investissement dans de bonnes conditions.
3 valeurs ont fait l’actualité mais laquelle choisir en priorité entre Air Liquide, BNP Paribas ou Hermès ?
Ces 3 cas d’investissement sont très différents et font l’objet de nombreux commentaires ces derniers temps. Un rappel utile avant de poursuivre : nous raisonnons ici pour un investisseur long-terme dont le portefeuille est déjà bien diversifié, la spéculation n’est pas de mise ici ! Que choisir entre :
Air Liquide : la star des portefeuilles de particulier pénalisée en bourse depuis plusieurs semaines par une acquisition aux Etats-Unis.
Hermès : la valeur de luxe par excellence qui a connu une baisse marquée cette semaine.
BNP Paribas : probablement la meilleure banque européenne mais qui appartient à un secteur détesté par les investisseurs depuis des mois.
Commençons par BNP Paribas : les résultats sont solides et l’activité est globalement en croissance. La banque continue de démontrer trimestre après trimestre la qualité de sa gestion, le contrôle des couts permet, même dans un contexte de faible croissance économique, d’améliorer la qualité du bilan de la banque. Comme toutes les banques BNP Paribas (...)lire la suite sur Atlantico