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Cette semaine, une enquête, des bagnoles, des seigneurs et des titans.

 

Silence, on joue !, c’est l’émission hebdo de jeux vidéo de Libération. Avec Erwan Cario et ses chroniqueur, Patrick Hellio, Joël Métreau et l’incontournable Monsieur Phal de Trictrac.net.

 

Au programme cette semaine, on commence avec la nouvelle extension de Destiny avec les Seigneurs de Fer, moins aboutie que la précédente, le Roi des corrompus, elle permet d'étendre encore l'expérience du jeu made by Bungie. On continue avec Virginia, qui explose les codes de la narration ludique en transportant le joueur dans une enquête étrange et pesante. On finit avec l'open bar foisonnant de Forza Horizon 3 et par l'adaptation très fidèle de l'Attaque des Titans, Wings of Liberty.

Monsieur Phal nous parle lui de Sherlock Holmes Detective Conseil : Jack l’Eventreur & Aventures à West End.

Et voici donc la version vidéo. Pour information, Silence on joue a maintenant sa propre chaîne Youtube, et il est possible de s’y abonner.

 

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Le titre Deutsche Bank ne parvient pas à remonter. A la Bourse de Francfort, l'action de la banque est en baisse de plus de 11,6%, mardi 4 octobre. Les pertes sont considérables. Résultat : des milliers d'emplois sont menacés en Allemagne et les places financières ont les yeux braqués sur la quatrième économie mondiale. Franceinfo liste quatre questions pour comprendre la crise traversée par la première banque allemande.

Quelle est la situation de la Deutsche Bank ?

Cela fait des mois que la banque allemande est dans la tourmente. Entre juillet et septembre, la Deutsche Bank a perdu six milliards d'euros. Son chiffre d’affaire est en baisse de 7% sur un an. Dans le cadre de son plan de restructuration, la banque va réduire ses effectifs de 25%. Elle prévoit de supprimer 9 000 postes, dont 4 000 en Allemagne, et de quitter dix pays, dont le Pérou ou la Finlande, précisent Les Echos.

La situation s'est aggravée mi-septembre avec une amende record infligée par les Etats-Unis, d'un montant de 14 milliards de dollars. La Deutsche Bank est accusée, comme d'autres grandes banques, d'avoir vendu à des investisseurs, avant l'éclatement de la crise financière de 2007-2008, des prêts hypothécaires résidentiels (RMBS). Ce sont des crédits immobiliers convertis en produits financiers toxiques. La banque allemande négocie en ce moment avec les Etats-Unis une révision à la baisse de cette amende.

Comment la banque en est-elle arrivée là ?

La Deutsche Bank est mise en cause dans 8 000 contentieux, rappelle Challenges. Elle est notamment accusée de blanchiment d'argent en provenance de Russie. Un litige qui pourrait lui coûter 2,5 milliards d’euros.

Elle fait également partie des banques liées au scandale du Libor. Le Libor, ce sont les taux de l’argent que les banques se prêtent entre elles. Ces taux interbancaires servent de (...) Lire la suite sur Francetv info

 

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Placement extrêmement prisé des Français, l'assurance-vie est aujourd'hui menacée par certaines dispositions prévues dans la loi Sapin 2. Explications.

La prise en main de l’assurance-vie par le pouvoir a démarré. Cette manne gigantesque de 1,500 milliards représente 40% de l’épargne des Français. Plus qu’une manne, c’est un trésor que l’Etat regarde avec convoitise. Ne pouvant rapidement se servir dans cette caisse sans révolution, il a donc commencé les préparatifs du casse du siècle. Premiers outils de la manœuvre : encadrer les rendements proposés aux détenteurs de l’assurance-vie – prétendument pour préserver les banques et assurances et, surtout, permettre la suspension des remboursements en cas de tensions. Tensions qui ne devraient pas tarder. Tous les ingrédients d’une crise systémique étant en place, la question n’est pas de savoir si elle aura lieu ou non, mais quand elle se déclenchera.

Malgré une pression fiscale effrayante – les Français ont travaillé pour l’Etat jusqu’au 29 juillet, jour de "libération fiscale" cette année , l’Etat vit à découvert. Très largement à découvert. Chaque fois que les administrations publiques dépensent 100 euros, elles doivent en emprunter plus de 15 imaginez au bout de combien de temps un ménage ou une entreprise se verrait couper les crédits par un banquier si elle fonctionnait avec tant de prodigalité , ce qui gonfle encore un peu plus la dette publique proche de 100% du PIB à quasiment 2,150 milliards d’euros. Et c’est sans compter la dette "hors bilan" notamment les retraites de la fonction publique dues et non compensées par des cotisations futures , soigneusement occultée dans les rapports officiels mais bel et bien réelle. Le rapport de la Cour des (...)lire la suite sur Atlantico


 

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Au terme d'une saga de longue haleine à rebondissements, l'Inde et la France ont enfin signé vendredi la vente à New Delhi de 36 avions de chasse Rafale du constructeur Dassault, pour près de huit milliards d'euros.

Le président François Hollande s'est félicité vendredi dans un communiqué "de l?aboutissement des négociations portant sur l?acquisition de 36 avions Rafale par l?Inde", estimant qu'il traduit "la reconnaissance" de "la qualité" de l'industrie aéronautique française.

Si cet accord est loin du "contrat du siècle" qui portait sur 126 avions de chasse, mais dont les négociations exclusives entre l'Inde et Dassault avaient été abandonnées en 2015, il n'en reste pas moins le plus cher jamais décroché par l'aéronautique militaire française.

Le rideau est tombé sur un feuilleton de neuf ans à la mi-journée à New Delhi. Au cours d'une brève cérémonie, le ministre de la Défense français Jean-Yves Le Drian et son homologue indien Manohar Parrikar ont paraphé l'accord intergouvernemental rudement négocié depuis avril 2015.

Les deux officiels ont échangé une longue et chaleureuse poignée de mains. Des applaudissements nourris ont éclaté dans la délégation française à l'issue de la signature, a constaté une journaliste de l'AFP.


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