Appartements touristiques, voitures ou matériel de bricolage... ces locations entre particuliers génèrent pour certains des revenus qui peuvent s'avérer importants et que les députés ont décidé de taxer à partir d'une certaine somme. Par exemple, pour de la location de véhicules, des revenus supérieurs à 7 720 euros par an seront apparentés à un statut professionnel et seront taxés.
Une "stigmatisation" du partage
Pour certains acteurs du secteur de "l'économie du partage", cela se résume à une stigmatisation de ces pratiques. "Ce qui est gênant, c'est vraiment le cafouillage autour de la loi et les menaces régulières qui sont faites sur les gens qui partagent. C'est improductif" déclare ainsi Paulin Dementhon, fondateur du site Drivy. En ce qui concerne
les locations touristiques d'appartements, les propriétaires devront rester sous le plafond de 23 000 euros de revenu par an pour éviter de devoir payer des cotisations sociales.