Un Soir d'été - Histoire Erotique

Une journée d’été bien chaude avec une température très élevée qui nous impose de passer la journée à la plage. Je ne porte qu’un tanga pour parfaire mon bronzage et avec mes copines on s’est enduit de Monoï pour avoir la peau douce et cette odeur de vanille.

En début de soirée, l’orage éclate soudainement et nous prend de court. Je remets vite ma petite robe blanche d’été, celle qui laisse mon dos dénudé et mon décolleté suggestif puis on court se mettre à l’abri et sur la route, on passe devant ce fameux bar, notre bar, où on passe des soirées folles à boire et à danser.

On s’improvise donc une soirée entre copines! On gare la voiture à qlques centaines de mètres de là puis on court jusqu’au bar. Arrivée dedans, j’ai les cheveux mouillés et surtout ma robe l’est aussi… Je suis d’abord gênée car la transparence de ma robe est immédiate, puis en croisant des regards sur moi, je me rends compte de l’effet que cela produit, et une des premières choses que je me dis, c’est que la soirée va être bonne. Mes seins pointent, la robe épouse parfaitement la courbure de mon cul et laisse voir mon tanga.

Je ris de cette situation et je me lance dans une soirée enivrante entre copines avec qui on enchaine les cocktails ce qui provoquent en nous une réelle euphorie. Je me mets donc à danser tout en jouant du regard avec toi. Brun, barbe de qlques jours, short en jeans et tatoué.

Tu t’approches de moi et me tend un verre. Tes yeux me fixent puis je les sens parcourir tout mon corps de haut en bas. Ma robe encore humide laisse transparaitre mes tétons et mon tanga rose. Tu me fais virevolter en dansant pour que je me retrouve dos à toi et là tu me plaques contre toi.

Je sens tes mains qui me serrent sur les hanches et ton souffle au creux de mon cou. On ne s’est pas dit un mot mais nous savons où cette danse va nous mener. Mes fesses plaquées à ta ceinture s’agitent après tes caresses sur mon cou. Tes mains se baladent sur moi et j’ai l’impression de te sentir durcir contre moi. Tu m’embrasses le cou ce qui provoque en moi des frissons puis une réelle excitation où je sens mon tanga se mouiller. J’ai envie de toi. Tu m’excites. Tu as envie de me baiser.

Ce n’est plus une impression, t’es bien en train de bander et tu soulèves ma robe pour que je la sente bien. Tes mains sont montées sur mes seins et tu me les tripotes sauvagement comme si nous étions seuls dans le bar.

Cela devient chaud entre nous, on se fait remarquer. Tes potes te lancent des regards approbateurs. Je me sens matée et j’adore ça. Je me mets face à toi, on s’embrasse langoureusement, salement, tes mains sont sous ma robe et m’attrapent mon cul pendant que la mienne se faufile dans ton short.

Il faut qu’on s’isole ou on va finir par baiser sur la piste de danse. On sort et tu m’amènes vers un parking. Je te plaque contre une voiture et je t’ouvre le short. Je peux enfin voir ta queue bien dure. Je joue lentement de ma langue sur ton gland. Tu veux une pipe. Tes mains se plaquent sur ma tête et j’enfonce ta queue bien dure au fond de ma gorge et j’enchaine les va-et-vient rythmés. Tu gémis à chaque fois que ta queue touche le fond de ma gorge, tu te laisses aller en ne pensant qu’à ta queue dans ma bouche.

Puis tu reçois un appel. Tes potes. Tu réponds en visio tu leur montres : moi, à genoux, en train de te pomper. Je suis encore plus excitée à l’idée que tes potes nous voient. Ça te fais aussi cet effet, tu craches dans ma bouche, et tu décides de prendre les choses en main.

Les bretelles de ma robe sont baissées, tu me plaques face à la voiture, soulèves ma robe et avec tes mains tu touches mon tanga complètement trempé de mouille. Tes mains attrapent mes gros seins bien durs et je sens ta queue rentrait dans ma chatte d’un coup sec.

Elle glisse facilement tellement je suis humide et tu commences à me baiser bien fort et vite. Ta queue bien dure au fond de moi me fait crier de plaisir. Tu as essayé de mettre ta main sur ma bouche pour étouffer mes cris mais on s’en fou. On entend des voix s’approchaient de nous, on est encore plus excité.

Tes potes t’appellent, tu décroches et tu leur dis de suivre les cris de salope qui résonnent dans le parking. A ces mots, je crie encore plus et je jouis une première fois.
Ils arrivent, nous matent, tes coups de queue s’accélèrent. Tu joues de ton égo. Tu me baises encore plus fort pour bien leur signifier que je suis ta salope. Je les regarde, je les vois se toucher la bite. Je rejouis. J’ai envie de bites. Tu dois aussi le sentir à mes mouvements de cul car tu sors de ta queue de ma chatte puis tu me la mets dans le cul. Elle est dure et épaisse. J’ai mal mais c’est une douleur qui se transforme en plaisir et j’en redemande.
Je suis désormais à 4 pattes. Un de tes potes s’approche de moi, sort sa queue et la frotte à mon visage puis j’ouvre ma bouche telle une invitation pour qu’il l’engouffre dans ma bouche. Animé par cette vision de salope en manque de queue, un troisième propose de me baiser la chatte. Ce n’est pas moi qui décide. Je suis ta salope et tu comptes bien en profiter.
Et me voilà prise dans un parking par 3 grosses queues. Je crie, je ne compte plus mes orgasmes, je sens le goût de sperme dans ma bouche et sur mon visage, et très vite ma chatte en est remplie. Tu m’as partagée avec tes potes mais là tu veux me marquer de ton sperme, me souiller. Tu attends donc de m’avoir qu’à toi et tu craches tout ton sperme sur mon cul puis sur ma gueule. Tes potes partent, on se rhabille comme on peut, puis encore sans prononcer un mot, je te donne mon tanga en guise de souvenirs de cette baise mémorable puis on repart chacun de notre côté et en espérant secrètement se recroiser.

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