La chroniqueuse de l'émission de Laurent Ruquier s'illustre depuis le début de la saison par une répétition de violentes altercations avec les invités. Elle est sous le feu constant des critiques et sa place dans la bande semble compromise.
Jouer les snipers dans le plus attendu des rendez-vous télévisuels du week-end expose à la critique, aux coups de gueules et aux clashs parfois très violents. L’écrivaine Christine Angot a débarqué tout feu tout flamme dans l’émission On n’est pas couché, en septembre dernier. Dans la longue liste des chroniqueurs de la bande à Laurent Ruquier mettant l’accent sur la provocation et le ton irrévérencieux, elle s’est présentée comme l’une des pires adversaires des invités. De Sandrine Rousseau, qui a terminé en pleurs sur le plateau, à Eric Dupont-Moretti, qui a dégoupillé samedi dernier, en passant par Jérémy Ferrari, qui lui a conseillé de prendre du Xanax, beaucoup de personnalités ont peu goûté à sa manière de communiquer. Clivante à souhait, elle a également eu le don d’harasser une partie des téléspectateurs. Beaucoup seraient ainsi prêts à la jeter en pâture face à des ténors de la com' médiatique. Consciente qu’elle ne plaît vraiment pas à tout le monde, l’intéressée a tonné hier soir sur RTL qu’elle conservait malgré tout une certaine ligne directrice et qu’elle évitait absolument de regarder sur Internet ce qu’on peut penser d’elle. « J’essaie de faire les choses de la façon la plus juste par rapport à ce que je ressens », se contente-t-elle d’expliquer.
? Relire : Vidéo Éric Dupond-Moretti et Christine Angot s'écharpent dans ONPC
Toutefois, Christine Angot reconnaît que ses multiples altercations ne sont pas très bien vécues de sa part, qu’elles ne sont même « pas du tout agréables ». Mais elle estime par ailleurs que sa posture s’explique par son besoin de passer des messages et que, se retrouvant souvent au milieu de la mêlée, avec à ses côtés un Yann Moix qui n’est pas en reste, elle doit essayer coûte que coûte « de dire quelque chose »....
Lire la suite sur Vsd.fr - ONPC A la limite du découragement, Christine Angot prête à claquer la porte