Un nouveau réseau social est-il nécessaire ? Oui, répond le fondateur de Vero, en mettant en avant le caractère non intrusif de son application, avec une collecte de données réduite et l'absence de publicités. Évidemment, tout cela a un prix.
Un modèle économique plus sain ?
Bref, rien de très original et ni le système de commentaires ou de "likes" ne sont là pour contredire l'assertion. L'interface est même un peu austère et moins engageante que sur les plateformes concurrentes, mais on est là dans une pure affaire de goût et de style. Alors, qu'est-ce qui distingue Vero de ses adversaires ? C'est en fait très simple : le point de différence majeur se situe dans le modèle économique du service.Car si Vero est pour l'instant gratuit, cela ne durera pas ; les créateurs ne veulent pas d'un énième réseau social algorithmique financé par la pub, mais une plateforme financée par les utilisateurs. L'appel d'air créé en ce moment a pour but de former une communauté d'un million d'utilisateurs qui auront droit à
Fondé par Ayman Hariri, fils de l'ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri, Vero fonctionne à l'aide d'un fil chronologique affichant les publications de tous les membres et fera également payer les entreprises présentes désirant utiliser des liens menant à l'achat de leurs produits. Reste maintenant à voir si tout cela suffira à convaincre des dizaines de millions de gens de payer pour tout cela.
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