Test 360fly 4K : on craque ou pas pour la petite caméra à 360° ?

5 raisons de craquer (ou pas) pour la 360fly 4K

1 - Oui, pour sa conception

Si la Samsung Gear 360 fait penser au croisement d’une bille de billard avec un robot issu du jeu Portal, la caméra 360fly 4K nous rappelle les dés de Donjons & Dragons. Ultra simple d’utilisation, il se commande à l’aide d’un seul et unique bouton. Appuyez longuement pour mettre l'appareil sous tension ou brièvement pour démarrer et arrêter l'enregistrement. Chaque action est validée par une vibration. Contrairement au Kodak PixPro SP360 4K, la 360fly 4K est dépourvue d’écran de contrôle. Elle se contente de LED, la première autour de l’unique bouton de contrôle, et la seconde sur sa base. Celles-ci changent de couleur passant du bleu au rouge lorsque vous démarrez l'enregistrement. On dispose ainsi d’un indicateur visuel clair qui est suffisamment lumineux pour qu’on puisse le consulter même en plein soleil. Ceci étant, la 360fly 4K est un peu trop épurée. Il manque un lecteur de carte mémoire et la batterie n’est pas amovible. Ainsi, la caméra est inutilisable une fois que la batterie est déchargée. À propos de charge, la 360fly 4K est livrée avec un socle très pratique.

Par ailleurs, alors que la version standard de la 360fly est étanche jusqu’à 40 mètres environ, la 360fly 4K doit se limiter à une immersion de neuf mètres au maximum. Cela devrait suffire à la plupart des utilisateurs, mais pas aux plongeurs. D’ailleurs contrairement au modèle de Kodak, aucun caisson n’est fourni pour les plongées profondes. Enfin, comme toutes les caméras 360, la 360fly 4K est équipée d’un pas de vis standard pour la monter sur un trépied. Le constructeur propose toute une gamme d’accessoires y compris des adaptateurs pour les supports de GoPro.

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