Bella Hadid n'est pas qu'une splendide mannequin à qui tout semble réussir, elle est aussi une jeune femme de 20 ans, en phase avec son temps, et qui rejette la politique anti-immigration prônée par le président des Etats-Unis, Donald Trump.
Bella Hadid a accordé cette semaine un entretien au magazine américain Porter, et s'est confiée sur sa carrière de mannequin, ses amours, et ses combats. L'ex du chanteur The Weeknd s'offre une sorte de retour sur ses vingt premières années d'existence, pour guider ses choix et ses opinions.
Atteinte de la maladie de Lyme, maladie infectieuse causée par une piqûre de tique, comme sa mère Yolanda et son petit frère Anwar (Ndlr: et également la chanteuse Avril Lavigne), la mannequin ne veut pas se précipiter pour retrouver l'amour, et se consacre à l'essentiel.
« Je me concentre juste sur moi-même, sur mon travail, sur le fait d'être la meilleure possible. Je ne m'inquiète pas trop de ce que pensent les garçons à mon sujet, j'essaie simplement d'être une femme?! »
L'ange de la marque Victoria's Secret profite de ce temps de repos pour observer la vie politique de son pays, et ce qu'elle voit ne lui plaît pas. La fille de Yolanda, une mannequin hollandaise, et de Mohamed Hadid, un riche investisseur immobilier d'origine palestinienne, Bella Hadid a bien conscience que ce que l'Amérique a offert à ses parents n'existe plus. Elle prend l'exemple du décret anti-immigration du président Donald Trump, qui aurait pu empêcher son père de s'installer aux Etats-Unis. La belle ne serait pas l'une des stars américaines des podiums si ce type de lois avaient été prises quelques années plus tôt.
"Mon père était un réfugié la première fois qu'il est venu aux États-Unis, donc c'est quelque chose qui nous parle à ma soeur (Ndlr: Gigi) mon frère et moi. Il a toujours été religieux, et il a toujours prié avec nous. Je suis fière d'être musulmane."....
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