A l’occasion de son livre Rencontres clandestines (éditions de L'Archipel), Monica Bellucci, maîtresse de cérémonie du prochain Festival de Cannes, a accordé une interview à l’AFP, relayée sur LePoint.fr. La sublime italienne s’est confiée sur l’évolution de son physique. Elle assure qu’elle accepte de « voir son visage changer » …
« Merci à la retouche »! A 52 ans, Monica Bellucci est l’une des plus belles femmes du monde. A chaque apparition, elle fait sensation. Malgré les années qui passent, et les changements que peuvent connaître le corps, l’Italienne s’assume pleinement. L’année dernière elle n'hésitait pas à se montrer nue dans une scène très érotique. Aujourd’hui, sa prestance et ses rôles au cinéma lui valent d’être la prochaine maîtresse de cérémonie de la 70e édition du Festival de Cannes, qui aura lieu du 17 au 28 mai. En attendant cet événement —à suivre sur Gala.fr—Monica Bellucci se livre à une interview confidences auprès de l’AFP, à l’occasion de la sortie de son livre Rencontres clandestines.
Quand elle se regarde au cinéma, plus particulièrement dans le film On The milky road (en salles le 12 juillet), la belle brune constate: « Je vois que j'ai des rides, autour des yeux, partout. Il y a dix ans, je ne les avais pas. Je vois mon visage qui a changé à l'écran". Qu'importe! Monica trouve cela »charmant". « Je regarde ça avec compassion. Je ne me dis pas oh mon Dieu, c'est monstrueux. Me voir en femme mûre ne me dérange pas", avoue-t-elle.
Celle qui a parfois souffert de sa beauté relativise. »Je trouve qu'il faut faire face à ça. Peut-être que dans dix ans, je serai monstrueuse et que j'aurai changé d'avis parce que j'aurai trop de rides. Mais pour l'instant, j'arrive à faire avec" dit la Bellissima. Concernant la chirurgie esthétique, l’ex James Bond girl n’a pas de « position tranchée". "Il faut faire ce qui nous fait du bien. La chirurgie plastique est là. Si ça nous rend heureux, pourquoi ne pas le faire?? »s’interroge-t-elle....
Lire la suite sur Gala.fr - Monica Bellucci face au temps qui passe évoque sans tabou la chirurgie esthétique et ses « charmantes rides »