La Femme de ménage - Histoire Erotique
Je m'appelle Marc, j'ai tout juste 18 ans et je vis à la campagne. J'habite chez mes parents, des catholiques pratiquants de la vieille école, dans une petite maison rustique. Sportif et souvent décrit comme mignon, je suis pourtant encore puceau. Ce n'est pas par manque d'envie, mais avec des parents aussi stricts et le peu de jeunes filles que je rencontre, les opportunités sont rares. Nous n'avons pas internet, alors les rares fois où je me masturbe, j'imagine que c'est notre jolie voisine qui s'occupe de moi.
À propos de cette voisine, elle est installée depuis onze mois dans la maison accolée à la nôtre. Elle doit avoir une trentaine d'années, une superbe blonde à forte poitrine, toujours habillée très sexy. Ma mère m'interdit formellement de lui parler, elle dit que c'est une prostituée. Je ne sais même pas ce que c'est. Chaque fois que je la croise, je lui dis timidement bonjour, et elle répond invariablement, "Bonjour, joli jeune homme".
Un jour, mes parents s'étaient absentés pour plusieurs jours. J'étais devant la télé quand j'entendis un gros camion s'arrêter devant la maison de la voisine. Curieux, je sortis et lus l'inscription sur le camion : "Déménagement Franco". De multiples pensées explosèrent dans ma tête. Ma jolie voisine allait partir. Non, elle qui occupait tellement de mes pensées et de mes fantasmes.
Je restai dehors, observant le déménagement avec une sensation de perte grandissante. La porte de la maison s'ouvrit, et la voisine sortit, supervisant les déménageurs. Voyant mon air abattu, elle s'approcha.
Voisine : "Bonjour, joli jeune homme. Tu as l'air préoccupé."
Moi: "Bonjour... Je... je vois que vous partez."
Voisine : (souriante) "Oui, c'est vrai."
Moi: (hésitant) "Je... je voulais vous dire que... que je vous allez me manquer."
Elle sembla touchée par ma confession, un sourire tendre éclairant son visage.
Voisine : "C'est gentil, Marc. Tu sais, je t'ai toujours trouvé très charmant. Pourquoi ne pas venir prendre un café avant que je parte ?"
Mon cœur battait à tout rompre. C'était une invitation que je n'aurais jamais osé espérer.
Moi : "D'accord, avec plaisir."
Je la suivis à l'intérieur de sa maison, le cœur plein d'excitation et de nervosité. C'était une occasion unique, et je ne savais pas ce qui allait se passer, mais …
Nous nous assîmes dans son salon, et elle me servit une tasse de café. Nous parlâmes de tout et de rien, le temps passant vite.
Puis, soudain, elle posa sa main sur la mienne.
Voisine : "Tu sais que je ne connais pas ton prénom. Moi, c'est Lindsay. Et toi ?"
Moi : "Je m'appelle Marc."
Lindsay : "Enchantée, Marc. Tu as quel âge ? Une petite amie ?"
Moi : "18 ans depuis trois jours." Je devins rouge écarlate en ajoutant, "Non, je n'ai pas de petite amie."
Les déménageurs entrèrent dans le salon, et le plus âgé dit : "Nous avons presque terminé, madame. Nous pouvons bientôt partir."
Ces mots me firent un choc. Alors que j'avais tant rêvé de ce moment, Lindsay allait partir et peut-être que je ne la reverrais plus jamais.
Lindsay : "Tu veux voir ma nouvelle maison ? Enfin, si tes parents sont d'accord."
Je n'allais pas refuser cette invitation qui prolongerait le plaisir et l'excitation d'être avec Lindsay, et je n'allais sûrement pas demander l'autorisation à mes parents. Je connaissais déjà leur réponse.
Moi : "Avec plaisir, et pour mes parents, j'ai 18 ans donc je n'ai pas besoin de leur autorisation."
Je n'en revenais pas de ce que je venais de dire.
Lindsay : "Ok, alors viens dans ma voiture. Nous partons, ce n'est qu'à 10 km d'ici. Je te ramènerai après."
Je suivis Lindsay, qui était vêtue d’un jean moulant et d’un chemisier dont les premiers boutons n’étaient pas attachés, laissant apparaître un aperçu de sa poitrine généreuse. Son joli cul mit le feu à mon short. Elle m’invita à entrer dans la voiture, ce que je fis rapidement pour éviter qu’elle ne voie la bosse qui commençait à se former dans mon short. En entrant dans la voiture, elle dut se pencher pour mettre un dernier objet dans un sac situé à l’arrière. Ce mouvement fit apparaître un peu de sa poitrine, et putain, elle ne portait pas de soutien-gorge. Rien ne put empêcher ma queue de grossir immédiatement. Mon short était si tendu que quand elle se releva et me regarda, ses yeux se posèrent sur l’énorme bosse et elle sourit. « Bien, on démarre, Marc, tu as l’air tendu, rassure-toi je conduis très bien », dit-elle d’une voix coquine.
Je ne sus plus quoi répondre, j’étais si embarrassé d’avoir été ainsi démasqué. La route de seulement 10 kilomètres me permit de débander, mais j’évitai de la regarder de peur de ne plus pouvoir me contrôler. Nous arrivâmes devant une superbe villa, isolée, avec piscine et un énorme jardin. « Aller viens, je vais te faire visiter », me dit-elle. Je la suivis, la villa était superbe, moderne, deux chambres, cuisine hautement équipée, une énorme pièce à vivre dans laquelle se trouvaient déjà un canapé, une télé et une table énorme. Mais ce qui attira le plus mon attention, c’était la piscine, qui était la plus grande que je n’avais jamais vue à l’époque. « Wahou, quelle superbe maison et cette piscine, vous avez beaucoup de chance, Lindsay », dis-je sur un ton admiratif.
Nous entendîmes la sonnette retentir, les déménageurs étaient arrivés. Lindsay et moi, nous commencions à vider les cartons pour remplir le frigo et le congélateur de la cuisine. Elle attrapa une bouteille de champagne et la mit dans le frigo, en disant : « Quand les déménageurs seront partis, nous trinquerons à ma nouvelle maison et à ton anniversaire ». Ça faisait deux heures que nous avions commencé à vider les cartons et un semblant d’ordre régnait dans la cuisine et le salon. « Madame, nous avons terminé, le camion est vide et nous avons monté les lits et les armoires, comme vous l’avez demandé », dit le plus petit des déménageurs en lorgnant le décolleté de Lindsay. « Merci, messieurs, bon courage, au plaisir », leur répondit-elle. Les deux hommes sortirent et quelques minutes après, le camion démarra. Lindsey dit ensuite : « Enfin seuls, j’avais hâte », je ne compris pas ce qu’elle voulait dire. J’ai encore un dernier service à te demander, tu peux m’aider à mettre les draps sur mon lit », dit-elle. Avec plaisir, répondis-je.
Le lit fut rapidement fait, nous descendîmes à la cuisine, elle sortit la bouteille de champagne et l’ouvrit pour nous servir deux coupes. « À ta santé et bonne anniversaire en retard, merci pour ton aide, j’en aurai pour des jours à ranger tout ça », dit-elle. « À ta nouvelle maison, c’est avec grand plaisir que je t’ai aidé », répondis-je. Une idée germa dans ma tête, Lindsay venait de m’annoncer qu’elle avait encore beaucoup de travail pour ranger tout et mes parents étant absents encore plusieurs jours, je tentai ma chance en proposant : « Je ne fais rien de ces jours-ci, si tu as besoin de moi, je suis partant, je te demanderai juste en retour de pouvoir utiliser ta piscine après le boulot. » « Merci, mais je suis gênée, alors je te payerai », objecta-t-elle. « Non, pas question, je viendrai chaque matin à vélo et on aura vite fini de ranger toutes ces caisses. » « Ok, charmant jeune homme, tu pourrais presque dormir ici, si tu veux, il y a une deuxième chambre, où il suffit juste de mettre les draps », dit-elle en me regardant droit dans les yeux.
L’idée de dormir à quelques mètres de Lindsay raviva des fantasmes que j’avais eus lors de certaines branlettes nocturnes. « Si ça ne te dérange pas, j’accepte », dis-je en bégayant. Elle s’approcha de moi et posa un baiser sur ma joue. « Tu es très serviable et gentil, et je n’ai même pas de cadeau à t’offrir pour ton anniversaire et ton aide », répondit-elle. « Ce n’est vraiment pas nécessaire, Lindsay », lui répondis-je. Le baiser et sa proximité provoquèrent chez moi une nouvelle érection. « Tu me trouves attirante ? », me demanda-t-elle en regardant mon short se tendre. « Oui, tu es très jolie et sexy », répondis-je. « C’est bien ce que j’en avais déduit en voyant ta queue dans cet état », conclut-elle en souriant.
Lindsay posa sa main sur ma queue et commença à me caresser à travers mon short. "J'ai une idée de cadeau d'anniversaire, tu veux que je te la propose ?" me dit-elle. J'étais pétrifié et ma queue me faisait mal tant elle était tendue. Face à mon silence, elle insista : "Bon, qui ne dit mot consent."
Elle fit tomber mon short et mon slip d'un geste rapide, et ma queue dressée apparut. "Wow, quel engin," s'exclama-t-elle en admiration. Puis, elle déboutonna son chemisier, révélant sa sublime poitrine. "Je vois bien que tu l'apprécies," dit-elle en se mettant à genoux devant moi.
Ma respiration s'accéléra alors qu'elle approchait ses mains de membre palpitant. Quand ses mains touchèrent ma queue, je cru que j'allais exploser directement. "Elle est super dure et c'est un plaisir de pouvoir utiliser mes deux mains pour la branler," dit-elle en commençant des mouvements de bas en haut.
Je ne pus m'empêcher de gémir, et après une minute de ce traitement, ce ne sont plus des gémissements mais des cris qui sortaient de ma bouche. Je n’allais pas tarder à jouir. "Laisse-toi aller, crache ta sauce," me dit-elle en approchant son visage de ma bite.
S'en était trop. Trois gros jets aspergèrent son visage, puis elle guida ma queue vers sa poitrine et de nombreux autres jets arrosèrent ses seins. Ma queue palpitait, des gémissements sortaient de ma bouche, mes jambes tremblaient. "Tu as les couilles bien vidées, mais ta queue est toujours aussi dure, mon salaud. Tu en redemandes ?"
Lindsay étala mon sperme sur sa poitrine en utilsant ma queue encore raide, puis ces doigts récupérèrent mon jus sur son visage et les dirigea vers sa bouche, où elle l'avala avec plaisir. "Hmm, très salé, j'adore ça," dit-elle en massant mes couilles. Je ne pus que gémir de plaisir, encore sous le coup de mon premier orgasme.
Lindsay sourit et se mit à me sucer, sa bouche étant si chaude et humide que je ne pus m'empêcher de gémir bruyamment. Sa langue parcourut mon gland et le piercing sur sa langue me fit frissonner de plaisir. "Est-ce que tu aimes ça, mon cochon ?" me demanda-t-elle en accentuant ses coups de langue. Je ne pus que gémir de plaisir en guise de réponse.
Je sentis que mes couilles se remplissaient à nouveau, et Lindsay semblait le remarquer aussi. "Oh, tu as encore envie de jouir, hein ?" dit-elle en me lâchant la queue et en descendant pour me lécher les couilles. "Je vais te vider complètement," ajouta-t-elle en aspirant une de mes boules dans sa bouche.
Elle alterna entre les deux, me léchant la queue et me suçant les couilles avec gourmandise. Je ne pus m'empêcher de gémir de plus en plus fort, sentant mon second orgasme approcher. Lindsay sentit mon excitation monter et remonta pour me sucer à nouveau, me faisant crier de plaisir.
Elle releva son visage vers le mien, ses yeux brillants de désir, et me dit « enfonce toi dans ma bouche et vide toi les couilles, j’ai faim de ton jus, j’adore ça »
Cette fois-ci, je jouis encore plus fort que la première fois, et Lindsay avala tout mon sperme avec facilité. "Tu avais encore les couilles bien pleines ?" dit-elle en me les caressants avec douceur. Je ne pus que hocher la tête.
Lindsay se releva, haletante et satisfaite. "Joyeux anniversaire," murmura-t-elle en m'embrassant.
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