La Femme de ménage - Histoire Erotique
Lundi matin, le soleil perçait à travers les rideaux, baignant la salle à manger d'une lumière douce. Assis à table avec mes parents, je savourais mon café, tandis que ma mère feuilletait le journal et mon père vérifiait ses e-mails. Fatima, notre femme de ménage depuis des années, venait de terminer son travail et s'approcha de nous avec une expression soucieuse sur le visage.
"J'ai terminé, monsieur, madame," dit-elle, essuyant ses mains sur son tablier. "Mais je dois vous prévenir que la semaine prochaine, je vais subir une grosse opération et je serai absente pour un mois, voire deux."
Elle marqua une pause, comme pour laisser le temps à l'information de s'installer. "Cependant, je peux vous proposer ma fille Julia. Elle est toujours à l'université, mais elle pourra venir à certaines heures."
Ma mère posa son journal, un air de compassion sur le visage. "Fatima, nous vous faisons confiance depuis le temps que vous travaillez pour nous. Si vous nous proposez votre fille, c'est qu'elle doit être consciencieuse dans son travail. Nous vous souhaitons beaucoup de courage pour les moments difficiles à venir. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à nous contacter."
Fatima sourit, les yeux humides. "Merci, madame. Je vous en suis très reconnaissante." Elle prit la direction de la porte de la maison et partit.
Une semaine plus tard, Julia, la jeune tunisienne aux cheveux longs et noir et aux yeux émeraude, se tenait devant nous, rayonnante de beauté juvénile. Après les politesses d'usage, elle s'attaqua à ses tâches ménagères. Mon père et moi, confortablement installés dans le canapé, étions absorbés par un match de football à la télévision.
Soudain, Julia se pencha pour dépoussiérer l'étagère. Mon souffle se coupa. Dans cette position, son pantalon taille basse révélait un string rouge vif, mettant en valeur ses courbes généreuses. Je détournai les yeux, seulement pour croiser le regard de mon père, qui ne semblait pas indifférent au spectacle.
Je sentis une chaleur monter en moi, et ma queue se tendre dans mon pantalon. Je me levai précipitamment, balbutiant une excuse à mon père, et me réfugiai dans ma chambre. Je m'allongeai sur mon lit, fermant les yeux, essayant de chasser l'image de Julia de mon esprit.
Quelques heures plus tard, ma mère rentra du travail. Je remarquai un regard échangé entre elle et mon père, un regard chargé de désir. Peu de temps après, des bruits étouffés provenant de leur chambre confirmèrent mes soupçons. Mon père était en train de baiser ma mère, probablement en fantasmant sur le cul de Julia.
Cette pensée me fit bander à nouveau. Je me mis à me branler, imaginant Julia dans des positions de plus en plus osées. Je me voyais la prendre par derrière, mes mains agrippant ses hanches, tandis que je lui murmurais des obscénités à l'oreille. Je l'imaginais aussi à califourchon sur moi, ses seins rebondissant au rythme de ses va-et-vient, tandis qu'elle me disait à quel point elle aimait ma queue en elle.
Je jouis en gémissant, mon sperme se répandant sur mon ventre. Je savais que je devais faire attention, que je ne devais pas laisser mes désirs pour Julia prendre le dessus. Mais je savais aussi que je ne pourrais pas résister éternellement. Et je me demandais si, au fond, je le voulais vraiment.
Quelques jours après le spectacle époustouflant, je suis rentré plus tôt que d'habitude, soucieux de ne pas perturber mon père qui, souffrant, n'avait pas pu se rendre au travail. Je me suis glissé discrètement par le garage, cherchant à éviter tout bruit susceptible de le tirer de sa sieste réparatrice.
La porte de la cuisine s'est ouverte dans un silence feutré, laissant échapper des gémissements étouffés qui provenaient du salon. Intrigué et légèrement inquiet, je me suis approché de la porte, mon cœur battant la chamade. Et là, le spectacle qui s'est offert à moi m'a laissé sans voix.
Mon père se tenait debout, le pantalon sur les chevilles, tandis que Julia, notre jeune femme de ménage, était agenouillée devant lui, ses lèvres rouge vif enserrant son membre turgescent.
"Oh, putain, Julia, tu es si douée pour ça", a-t-il grogné, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux.
"Si c'est ce que monsieur désire, je suis prête à tout", a-t-elle répondu, sa voix suave et pleine de promesses.
Je me suis retrouvé à bander instantanément, mon vieux avait prétendu être malade pour pouvoir profiter de la bouche experte de cette jolie salope. J'étais en colère contre lui, il trompait ma mère, mais j'étais aussi envieux, j'aurais tellement aimé être à sa place.
Mon père a commencé à bouger de plus en plus vite, ses gémissements se faisant de plus en plus forts. "Tu vas tout avaler, ma belle Julia", a-t-il dit, sa voix tremblante et pleine de désir. Elle a acquiescé d'un signe de tête, ses yeux pétillants de malice.
Mon père a crié si fort que j'ai compris qu'il était sur le point d'éjaculer. Julia a tout avalé sans broncher, un sourire satisfait sur le visage. Je me suis éclipsé rapidement par le garage, cherchant à faire le point et à calmer ma propre excitation.
Je me suis promené quelques instants, mes pensées tourbillonnant dans ma tête. J'étais déterminé à trouver un moyen de profiter moi aussi des charmes de Julia, et de faire payer à mon père sa trahison envers ma mère.
Le lendemain, je fis semblant d'être malade moi aussi et de devoir rester au lit. Dès que mes parents furent partis, je me mis nu sur mon lit, mon membre fièrement dressé. Je voulais tester cette petite garce de Julia.
Quelques temps plus tard, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir. Julia devait être dans la maison. Je me caressai légèrement, lui donnant le meilleur aspect possible sans pour autant jouir. Les bruits qui me parvenaient me laissaient penser que Julia était en train de faire le ménage dans la salle de bains. Si elle suivait son habitude, ce serait ma chambre ensuite. Je m'étalai au-dessus des couvertures et fis semblant de dormir.
J'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir, et Julia poussa un cri de surprise. Je fis semblant de me réveiller et ouvris grand les yeux. "Pardon, monsieur, je ne savais pas que vous étiez là", dit-elle, les yeux rivés sur mon sexe.
Je me glissai sous les couvertures pour cacher mon membre et dis à Julia : "Je sais que je ne suis pas censé être là, mais vous auriez pu frapper à la porte. Hier, vous auriez pu tomber sur mon père souffrant dans la même tenue."
Elle rougit et s'excusa à nouveau. "Bon, on ne va pas en faire toute une histoire. Voulez-vous que je sorte de la chambre pour vous faciliter la tâche ?" lui demandai-je. "Non, non, ça ira comme ça, monsieur", répondit-elle.
Elle commença à faire le ménage, et quand elle dut nettoyer mon bureau, elle se pencha en avant. Là, je me régalai de la vue. Son pantalon taille basse, trop grand, descendait au milieu de ses fesses, laissant apparaître un superbe string ficelle. Mon membre se dressa instantanément. Le bureau terminé, elle s'attaqua à ma table de nuit. Je soulevai d'un coup la couverture, exposant mon érection à Julia.
Une fois la surprise passée, elle me dit : "Mais, monsieur, pourquoi faites-vous cela ?"
D'une voix claire et autoritaire, je lui dis : "Écoute, petite salope, tu entres dans ma chambre sans frapper, tu mates mon membre sans gêne, hier tu suçais mon père et avalais sa semence. Alors, arrête de faire ta précieuse."
Elle me regarda avec des yeux de biche et, en souriant, elle dit : "Monsieur a besoin de quelque chose ?" en regardant mon membre.
"Oui, je veux le même traitement que mon père a reçu hier. Ça a dû être efficace, il n'est plus malade aujourd'hui", dis-je d'un ton moqueur.
Julia déposa son chiffon et monta sur le lit entre mes jambes. Avec un regard vicieux, elle dit : "Si c'est ce que monsieur veut, alors je vais m'exécuter." Elle contempla mon membre dressé et mon gland rouge de désir. Elle commença à me sucer le gland avant d'engloutir presque entièrement ma bite. Le contact de sa bouche, de sa langue, fit encore plus grossir mon membre. Elle suçait comme les filles dans les films de cul. C'était tout simplement incroyable. Je pouvais en déduire qu'elle avait déjà dû en sucer des tas pour être aussi douée.
Elle se mit à gémir. "Tu aimes ça, la bite, petite salope ?" lui dis-je. Elle sortit mon membre de sa bouche et me répondit : "Oui, monsieur, j'aime ça." Elle reprit immédiatement mon membre en bouche, une fois sa phrase terminée.
"Je vais te remplir la bouche de mon jus, et tu vas avaler. Tu as l'air d'aimer ça en plus", lui dis-je.
Elle me regarda droit dans les yeux et accéléra la cadence. Je sentis mes couilles prêtes à exploser. Toujours en me fixant dans les yeux, Julia sortit mon membre de sa bouche, attrapa mes couilles et les massa et dit : "J'attends votre jus, monsieur."
Sa langue excitait mon gland, et un premier jet de sperme atterrit sur son visage et son coup. Elle replaça mon membre bien dans sa bouche pour avaler le reste. Je poussai des cris qui auraient pu alerter les voisins. Putain de salope, elle sait s'y prendre pour faire jouir un mec.
Une fois qu'elle eut fini de nettoyer mon membre, elle se releva du lit et me dit : "Autre chose pourrait vous faire plaisir ?"
"Vu l'heure qu'il est, non. Vous devez finir le ménage. Mes parents ne vont pas tarder. Mais à l'occasion, c'est de ta chatte que je vais m'occuper", lui dis-je.
Elle prit un ton scandalisé : "Non, je dois être vierge jusqu'au mariage." Puis, sur un ton provocateur, elle dit en se penchant devant moi pour soi-disant faire le pieds de mon bureau et ainsi exposer son cul : "Mais si ma bouche ne vous suffit pas, il y a peut-être une autre solution pour votre plaisir, monsieur."
Je lui souris et dis : "Parfait. C'est ton cul que je visiterai la prochaine fois, petite allumeuse."
Tout en se relevant, elle dit "Si c'est le souhait de monsieur, je n'y vois pas d'inconvénient", elle passa sa langue sur ses lèvres et fini par dire « A bientôt, monsieur ». Et sorti de ma chambre.
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