Les Fantasmes d’Aude - Histoire Erotique

Enfin l’été ! J’ouvre la fenêtre sur le port de Toulon. Tiens, un sous-marin vient d’accoster. Humm…j’ai des envies lubriques. J’enfile ma petite robe rouge légère qui m’arrive au ras des fesses, pas de culotte, à quoi bon. Je prends mon grand sac de plage, j’y glisse mon gode fétiche qui ne me quitte jamais en cas d’envie irrépressible à satisfaire immédiatement, mes sandales et me voilà dans la rue.

Je me dirige vers les quais. Les passants regardent mes cuisses et ma jupe qui s’envole dans le vent découvrant mon sexe épilé. Les femmes engueulent leur mari qui s’arrêtent pour se retourner et mater mon petit cul.

Arrivée sur les quais j’avise les sous mariniers. Pas mal…des grands, des petits, pas mal foutu, ils ont dû faire du sport ds leur engin…moi j’ai d’autres choses à leur proposer. Je m’assois sur une bite d’amarrage, cuisses largement écartées sur mon sexe ouvert à la vue des matelots et sors mon portable pour envoyer un SMS à ma copine Lucile qui est bien aussi salope que moi et lui décrire ce qu’il se passe pas loin de chez elle. Je lève les yeux. Un petit groupe s’est form é, face à moi, ils ont les yeux rivés sur ma chatte. Je les interpelle : « hé les hommes, quelqu’un me fait visiter votre vaisseau ? ». Ils en reviennent pas. Y a le plus petit qui sort du groupe et qui se présente : « moi, c’est Anton, et je veux bien te faire visiter ma cabine. »

Je le suis dans le sous-marin, ils sont nombreux encore à bord. Il m’emmène dans sa cabine, je prends l’air intéressée par ce qu’il me montre. Je m’allonge sur sa couchette pour essayer d’imaginer comment un matelot peut se sentir avant de s’endormir. Il continue de me parler. Sa voix tremble un peu, il bégaie, perd le fil…bref, je le prends par l’habit et l’attire à moi. J’ai envie d’une belle queue ! Je remonte ma jupe pour qu’il puisse voir mon sexe et sors mon gode que je m’enfile direct sous ses yeux. Lui, sort sa queue, pas longue mais épaisse et commence à se branler en me regardant. Il s’approche et me met son sexe dans la bouche, il l’enfonce jusqu’à la garde en me tenant la tête pour que je ne puisse pas me détourner. Et là il entre et sort rapidement , en gémissant, je perds le contrôle de mon gode et lui m’éjacule au fonds de la gorge dans un gémissement rauque. Puis il sort de la cabine, il appelle ses potes qui rappliquent aussi sec. Il ouvre la porte et me montre d’un geste théâtrale : « les mecs, elle est bonne, on va s’éclater ». Quatre mecs entrent dans la cabine qui est minuscule.

Les fantasmes d’aude Par Aude et Eric , 01/03/2023 à 18:58 Enfin l’été ! J’ouvre la fenêtre sur le port de Toulon. Tiens, un sous-marin vient d’accoster. Humm…j’ai des envies lubriques. J’enfile ma petite robe rouge légère qui m’arrive au ras des fesses, pas de culotte, à quoi bon. Je prends mon grand sac de plage, j’y glisse mon gode fétiche qui ne me quitte jamais en cas d’envie irrépressible à satisfaire immédiatement, mes sandales et me voilà dans la rue. Je me dirige vers les quais. Les passants regardent mes cuisses et ma jupe qui s’envole dans le vent découvrant mon sexe épilé. Les femmes engueulent leur mari qui s’arrêtent pour se retourner et mater mon petit cul. Arrivée sur les quais j’avise les sous mariniers. Pas mal…des grands, des petits, pas mal foutu, ils ont dû faire du sport ds leur engin…moi j’ai d’autres choses à leur proposer. Je m’assois sur une bite d’amarrage, cuisses largement écartées sur mon sexe ouvert à la vue des matelots et sors mon portable pour envoyer un SMS à ma copine Lucile qui est bien aussi salope que moi et lui décrire ce qu’il se passe pas loin de chez elle. Je lève les yeux. Un petit groupe s’est form é, face à moi, ils ont les yeux rivés sur ma chatte. Je les interpelle : « hé les hommes, quelqu’un me fait visiter votre vaisseau ? ». Ils en reviennent pas. Y a le plus petit qui sort du groupe et qui se présente : « moi, c’est Anton, et je veux bien te faire visiter ma cabine. » Je le suis dans le sous-marin, ils sont nombreux encore à bord. Il m’emmène dans sa cabine, je prends l’air intéressée par ce qu’il me montre. Je m’allonge sur sa couchette pour essayer d’imaginer comment un matelot peut se sentir avant de s’endormir. Il continue de me parler. Sa voix tremble un peu, il bégaie, perd le fil…bref, je le prends par l’habit et l’attire à moi. J’ai envie d’une belle queue ! Je remonte ma jupe pour qu’il puisse voir mon sexe et sors mon gode que je m’enfile direct sous ses yeux. Lui, sort sa queue, pas longue mais épaisse et commence à se branler en me regardant. Il s’approche et me met son sexe dans la bouche, il l’enfonce jusqu’à la garde en me tenant la tête pour que je ne puisse pas me détourner. Et là il entre et sort rapidement , en gémissant, je perds le contrôle de mon gode et lui m’éjacule au fonds de la gorge dans un gémissement rauque. Puis il sort de la cabine, il appelle ses potes qui rappliquent aussi sec. Il ouvre la porte et me montre d’un geste théâtrale : « les mecs, elle est bonne, on va s’éclater ». Quatre mecs entrent dans la cabine qui est minuscule. Je commence un peu à flipper. Ils ont l’air chaud. Qu’est-ce qu’il va m’arriver ? Le premier, m’arrache ma robe et me fait mettre à quatre pattes, il glisse un doigt dans ma chatte pendant que son pote, un grand brun, me tire les cheveux pour que je redresse la tête. Il me regarde sans rien dire. Je retiens des gémissements, je suis mouillée, j’ai le sexe énorme son pote derrière moi sort sa queue et me l’enfonce dans la chatte. Le brun sort sa queue et la frotte sur mes joues, mon front, tout en me regardant me faire enfiler, puis il place sa queue devant ma bouche, je l’avale en gémissant de plaisir. Derrière le gros lubrique gueule comme un âne et me frappe le cul en me traitant de salope, j’accélère le rythme et le brun apprécie mais il me repousse tandis que son pote éjacule sur la couchette, il me retourne et commence à ramener de ma mouille sur mon anus, il se crache dans les mains, enduit mon œil brun de sa salive et, je crains le pire, il place sa bite juste à l’entrée de mon rectum et il s’introduit lentement, les autres partent fumer leur clope sur le pont, j’espère qu’ils vont pas appeler leurs autres petits camarades, le brun s’active comme un dingue dans mon cul, je sens que je vais éclater, le petit blond du début est là, il me redresse et tous les deux me portent littéralement, le blond me fourre sa queue dans la chatte pdt que le brun continue ses vas et viens dans mon cul. C’est énorme, j’en peux plus, je hurle de plaisir, mon bas ventre tressaute sans s’arrêter, ça les achève et ils me remplissent la chatte et le cul. Ils se retirent. Pendant qu’ils se rhabillent je remets rapidement ma petite robe rouge froissée, et je file sans demander mon reste. J’ai le cul et la chatte en feu, je cours sur le quai à la recherche d’un point d’eau qui pourrait me rafraîchir et là je rencontre Lucile à qui je raconte mon aventure. Elle est super excitée et m’entraîne dans les chiottes d’un bar, elle veut me lécher partout, mes seins, ma chatte et mon cul pour « me rafraîchir ». Elle me lèche le clitoris avec application, lentement, la langue molle, épaisse, enveloppante pour soulager le feu. Et puis elle commence à tourner autour de mon clito, à enfouir sa langue dans mon sexe, elle sort mon vibro de mon sac et me le fourre dans la chatte tout en continuant à me lécher, j’en peux plus, je regarde sa tête qui s’active, je me sens prête à exploser, je finis par avoir un orgasme incroyable. Elle se repousse et me regarde en souriant : « ça va mieux ? T’as moins chaud ? », « oui, ça va, je prendrais bien une petite bière maintenant. ». Je me rhabille, et nous sortons des chiottes. Je suis apaisée. Heureusement que je peux compter sur ma copine pour apaiser mes douleurs.

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