Selon l'éditeur, cette nouvelle version a nécessité un an et demi de développement ; les versions pilotes ont été testées notamment en Russie, en Ukraine, en Chine et dans les pays scandinaves (Suède, Danemark, Norvège…). "Cet antivirus gratuit ne sera pas en concurrence avec nos versions payantes qui possèdent de nombreuses fonctionnalités supplémentaires, telles que le contrôle parental, la protection des transactions en ligne, ou encore un VPN (Virtual Private Network)", assure d'emblée Eugène Kaspersky. Il s'agit d'une version allégée intégrant des outils de base, comme un moteur d'analyse et d'éradication des programmes malveillants, la protection des emails ou encore des pages web consultées et des médias USB.
Un "cadeau" pour relever le niveau de protection sur Internet
Comme à son habitude, Eugène Kaspersky ne tempère pas son enthousiasme et présente la nouvelle édition gratuite comme un fantastique "cadeau" pour relever le niveau mondial de la protection Internet. L'homme se positionne en bon samaritain, sans oublier de tacler au passage ses concurrents gratuits : "Les nombreuses personnes qui n'ont pas la possibilité de dépenser 50 $ pour une protection premium installent les antivirus gratuits traditionnels qui ont plus de trous que le fromage suisse pour laisser passer les logiciels malveillants, ou pire encore, doivent compter sur Windows Defender !" Avec Kaspersky Free, l'éditeur espère accroître considérablement sa base de données utilisateurs à travers le monde afin d'améliorer l'efficacité de son moteur de détection basé sur des technologies de machine learning.
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