Par le

Mon histoire est une histoire vraie. Je l'ai écrit pour fêter une sorte d'anniversaire secret et personnel et comme pour fixer dans le marbre mes souvenirs, une sorte de confession même si je ne cherche pas à me faire pardonner de quoi que ce soit. Aujourd'hui, je sors de moi un secret partagé avec un homme qui a fait de moi son soumis.

Pour commencer, je tiens à dire que le récit qui suit n’est pas une invention de mon imagination. Je décris ce que j’ai réellement vécu. Si certains dialogues ne s’ont pas exactement retranscris, ils le sont le plus fidèlement possible et en gardant l’esprit et l’intensité.

2020, j’ai aujourd’hui 47 ans. Je suis célibataire, j’ai une bonne situation professionnelle et vis seul au nord de Nantes après avoir longuement vécu avec une femme fabuleuse dont je vous parlerais peut-être un jour.
Je suis un homme lambda, passe partout, 1m70 un peu rond, pas membré comme un âne, les yeux très bleus et les cheveux gris poivre. Paradoxalement, j’ai eu de nombreuses aventures, mon métier me permettant de faire des rencontres et avec de l’humour, du caractère, de l’esprit, beaucoup de choses sont possibles.
Dernier détail : je suis bi.

Si je vous parlerais de certaines de mes aventures féminines qui, je crois, peuvent vous intéressés par leur intensité, leur folie voire leurs aspects franchement comico-loufoques, mais je veux ici vous parler d’une rencontre avec un homme particulier qui m’a beaucoup marqué.

Je n’ai jamais fait beaucoup de rencontre avec des hommes. La 1ère s'est passé quand j'avais 21 ans, fidèle, exclusif et comblé, je n'en avais pas lorsque j'étais en couple, si bien que J’ai passé des années sans relation bi.

Quand en période de célibat, une envie me titillait, je la comblais via des sites de rencontres. Si avec les femmes, je suis très entreprenant, vraiment un actif qui aime prendre les ébats en main, avec les hommes, je suis au contraire très passif, ne recherche pas à jouir moi-même mais "simplement" un mec à sucer et n’aimant pas avaler, un facial final me convenait.

J’aime prendre une queue en bouche, la sentir durcir et entendre le plaisir que je donne aux mecs. N’étant pas collectionneur, ni casse-cou, j’ai toujours cherché certains profils de mecs cools, sympas, cleans et discrets.
L’autre élément essentiel, je voulais des hommes sûrs d’eux, qui savaient clairement ce qu’ils venaient chercher. Les hésitants me gonflaient, tout comme les fantasmeurs et particilèrement ceux qui arrivés chez moi, tergiversaient ou n’osaient pas se lancer. Tandis que ceux qui disaient « vas-y, suces moi » me mettais en appétit et qu’ils soient sans gêne voire carrément égoïste m’excitaient beaucoup.

C’est ainsi que j’ai rencontré cet homme que je nommerais H .
H était grand, châtain, poilu, très membré, franchement baraqué car avec un peu d’embonpoint. Je lui donnerais 45-50 ans.
Etant moi-même sélectif, on a échangé quelques mails et nos recherches convergeant, H et moi avaient convenus de se voir chez moi le surlendemain. Ayant été clair sur le fait que j’aimais les mecs « directifs », il m’avait dit de l’attendre nu, à genoux face à la porte et d’être prêt à le pomper.

Je l’ai donc attendu ainsi, excité. Ponctuel, à l'heure convenue, j'étais en position quand il a sonné à la porte puis est entré sans attendre que j'ouvre. Le fait d'être à genoux amplifiait encore l'impression de sa stature imposante, il avait l'air immense mais ses gestes souples, tranquilles, sa voix assurée m'ont tout de suite mis en confiance.

Il s'est déboutonné, a baisé pantalon et caleçon et a sorti une bite impressionnante! J'avais sucé des queues longues mais trop fines ou l'inverse, d'autre courtes, les tailles et largeurs m'importaient peu, elles étaient juste plus ou moins jolies mais ce jour-là, j'ai été en face d'une bite parfaite, une poutre de chair droite et raide, massive mais équilibrée, juste ce qu’il faut de longueur par rapport à la largeur et cerise sur le gâteau, surmontée d'un gland magnifique, gros, large, bien décalotté, c'était un casque prêt à l'attaque.

H m'a ainsi mis son sexe sous le nez et m'a juste dit :
-A toi de prouver que tu es aussi bon suceur que tu le prétends!

Je lui ai prouvé, ses râles et gémissements ne laissaient aucun doute, il a eu droit à une pipe si belle, intense, sensuelle et sauvage, qu'il m'a inondé la tête de sperme!
Les giclées n'arrêtaient pas, mon visage était recouvert de foutre et je sentais son jus glissé de mon front vers mes yeux, le long de mon nez jusqu'au menton. In-cro-yable!

J'étais à genoux, je n’en revenais pas. Il m'a dit de le reprendre en bouche puis il s’est calmé. Je pensais qu'il allait vouloir partir comme le font tous les mecs, mais il n'était pas pressé. Comme Je lui avais proposé un verre avant de le sucer lors de nos échanges de mails, il m'a demandé si mon offre tenait encore, j'ai dit oui et je me suis levé pour aller me laver le visage et lui servir une bière.

C'est là que tout à commencer, il m'a dit :
-Te laves pas, gardes tout, je veux te voir avec mon jus .
-Surpris, j'ai dit "Arrêtes, c'est dégueu, je vais pas rester comme ça pour boire un verre"
Et là, très calmement, il a eu une phrase comme ça :
-Pourquoi ? ça te va bien et j’aime bien délimiter mon territoire !
Ce n'était pas dit méchamment, un peu provoquant certes mais c'était comme un constat et je n’ai rien su répliquer.
D’ailleurs comment aurais-je pus ? Comment pouvais-je faire le mâle, le cowboy face à lui alors que 5mn avant, j'astiquais goulument son gros calibre? Alors j'ai gardé son sperme qui descendait sur mon visage puis séchait pendant qu'on a bu un verre et on a discuté de sexe. Il m'a félicité pour mes talents de suceur en me disant que ça faisait longtemps qu'il n'avait pas été pompé aussi bien .

- Fais gaffe, je pourrais y prendre goût!
- Oh, tu ne dois pas avoir du mal à trouver des suceurs toi, vu comment tu es équipé.
- C’est sûr mais des bonnes salopes comme toi, j’en trouve pas des masses. Tu sais y faire, ça fait du bien d’être sucé comme tu fais. Je dirais pas non à revenir te voir. T’en dis quoi ?
- Moi, je suce de temps en temps, c’est selon mes envies, c’est pas régulier mais quand j’ai envie, c’est vrai qu’un mec comme toi, c’est sympa.
- Et tu as souvent envie ?
- De temps en temps, parfois ça me titille 1 fois par semaine et après j’y pense plus pendant des mois. Et puis, t’as compris que j’étais sélectif, je pose des questions et les mecs, ça les emmerde de répondre alors je ne trouve pas tout le temps quand j’ai envie de sucer. Et pour être franc, t’as vu que je ne suis pas un mannequin, je ne rentre pas dans les standards bi ou gays alors bien des fois, je reste sur ma faim....
- Ton physique c’est pas important pour moi. Même à la rigueur, je m’en fout. Par contre, une bonne suceuse de bite comme toi, je suis super open. C’est un mec comme toi que je cherche, pas prise de tête, discret, sérieux mais assez chaud pour accepter mes fantaisies et surtout qu’est ce que tu suces bien !
- Bah, merci, j’aime bien sucer de toute façon et ton petit scénario m’a bien plut.
- C’est clair, toi tu es une vraie bouffeuse de bite et ça te vas très bien le jus plein le visage, t’es bandant tout repeint. Mais je ferais mieux la prochaine fois.
- T’as vachement envie de revenir, toi !
- C’est clair, je garde précieusement ton numéro
- Je ne dis pas non à te sucer de temps en temps mais t’as compris, discrétion totale, ce qu’on fait ensemble, ça reste entre nous.
- T’inquiètes, aucun souci avec ça. Discrétion 100% garantie. Du moment que je peux revenir quand j’ai envie d’une bonne pompe.
- Si c’est comme ça, je suis ok. Envoie-moi un sms quand tu veux passer et si je peux, tu pourras passer quand tu as besoin, dis je en le charriant.
- Dans un rire, il me dit : Nickel, ça tombe bien, j’ai des gros besoins, tu vas avoir du boulot !
- Tant que ça ?
- Oui, avec une bonne salope, je passe me faire sucer tous les jours !
- Oulà, calmos, je suce pas tous les jours moi ! le dernier que j’ai sucé, c’était y’ a plus de 6 mois et en plus, c’était pas terrible.
- Et là, c’était bien apparemment. Tu as aimé à ce que j’ai pût voir !
- Oui, c’est vrai, c’était sympa, j’ai bien aimé, tu corresponds à ce que je cherche et t’as une très belle bite, ce qui gâche rien ! Mais de là, à te sucer tous les jours…
- Tu vas y prendre goût, tu verras que ça te manqueras les jours sans la prendre en bouche.
- On verra, rêves pas, je serais pas dispo tout le temps non plus et je bouge le weekend alors faudra que tu patientes ou que tu me trouves un remplaçant !
- Quand j’ai une bonne pute pour moi tout seul, je peux patienter un peu mais 2 jours pas plus !
- Tu vas un peu trop vite pour moi, toi ! Une pipe et je suis déjà ta pute !
- Bah, c’est ce que tu es, non ? Tout le prouve ! Regardes, je t’ai dit de m’attendre à poil, à genoux et clac, tu m’as obéis
- Attends, c’était un jeu pour t’exciter.
- Ah bon ? Et t’as quoi sur le visage ? Je t’ai dit de tout garder et c’est ce que tu as fait sans broncher. T’as rien dit et tu as fait le service tranquille, mon sperme plein la tronche. Et ça va très bien à ta jolie petite gueule de salope, t’as la tête à ça.
- Bon ok, je t’ai fait plaisir, t’en avais envie, moi, ça ne me dérangeait pas plus que ça. Vas pas chercher plus loin.
- T’as tout dit, tu aimes faire plaisir même quand c’est pas ton truc. T’as aimé mon scénario d’arrivée, parce que ça te met aux ordres, ça t’excite et tu pompes super bien grâce à ça. Les mecs comme toi, c’est rare. C’est pas souvent que je tombe sur une vraie salope, qui prend leur pied à satisfaire des mecs comme moi. C’est ta nature, tu me l’as écrit, tu cherches des mecs directifs. Y’a ceux qui commandent et ceux qui obéissent et il y a les baiseurs et les baisés. Ici entre nous deux, on sait toi et moi qui est qui.
- C’est peut-être beaucoup plus simple que tu le dis : Je suis passif, j’aime sucer et c’est tout. Juste sucer, peut être que ça m’emmerde alors je ne suis pas contre un peu de fantaisie pour varier les plaisirs. Et puis, j’aime baiser, je baise des femmes.
- Je te crois, j’ai bien vu que tu sais ce qu’est une femelle. Mais avec un mec, t’es pas un baiseur. Tu pourrais préparer tes scénarios mais tu préfères faire ceux des autres, ça t’excite d’être celui qui permet à l’autre de s’éclater. Quoi que tu en dises, tu es un soumis prêt à l’emploi.

C'était dit naturellement, une conservation peinarde un verre à la main, sans forcer pour avoir raison, comme une évidence.

On était debout, il devait bien faire 1m90, moi 1m70, il devait peser au moins 110kgs, moi 90kgs, il était membré baléze, un bon 20X5 face à mon petit 15X3-4. Physiquement il m'était supérieur, j'étais un gringalet à petite bite face à un mâle baraqué à grosse bite. Et moi j'avais accepté sa demande d'être nu, d'être à genoux et surtout c'était sa queue que j'avais sucé, son foutre qui dégoulinait sur moi. Ce qu’il disait avait du vrai, je l’ai admis avec un peu de honte, les faits lui donnaient raison.
Avant qu'il parte, il m'a dit de le sucer à nouveau et il a éjaculé en bouche encore une grosse quantité de jus, mais à l'époque je n'avalais pas, je n'aimais pas le goût et ça me donnait des hauts le coeur.
Il n'était pas super content que je recrache mais en partant, il m’a dit : à très vite !

Après réflexion et une fois qu’il eut parti, je senti en moi une rebellion montée en moi. Cette assurance qu’il a eu à me décrire, cette sensation de m’être fait disséquer comme un insecte m’a contrarié. Quand même, il allait vite en besogne et il m’a vraiment pris pour une pute. J’ai viré ses mails, ses sms, en me disant qu’il pouvait bien me recontacter, il n’aurait qu’à se finir à la main, comme le baiseur qu’il se disait être.
Dés le lendemain, il m’a envoyé un sms auquel je n’ai pas répondu. Puis un autre, encore un autre dans les jours suivants, sans réponse de ma part.
Arrive le vendredi soir, jour d’aller faire quelques courses à l’unique supermarché du coin. J’attendais dans la file, appuyé sur le cadie et smartphone en main quand arrive un de ses sms.
-Je te vois.
Je relève la tête, fait un 380° du regard quand arrive un 2ème sms.
-Je t’attends.
Je réponds :
-Qu’est-ce que tu fous là ?
-J’habite ici aussi. Je t’attends, tu as des choses à rattraper.
-Pas le temps. Pas envie. Laisses moi tranquille.
-Tu prendras le temps, pas le choix, tu as des jours de retard.

J’ai vidé mon chariot, mon cœur battait la chamade, il n’était pas loin, je savais qu’il me regardait et m’attendait. Je ne voulais pas qu’on nous voit ensemble, je ne voulais pas d’esclandre. J’ai payé et d’un pas rapide, j’ai filé vers la sortie et rejoint ma voiture sans le voir, tout jeté dans le coffre et je suis parti dare dare. Arrivé chez moi, il m’attendait.
-T’as pas mis longtemps. T’étais pressé ?
D’un ton sec, je lui réponds :
-Non, j’ai des choses à faire et j’ai pas de temps pour toi. Merci de t’en aller, arrêtes tes sms et laisses moi tranquille s’il te plait.
-Tu as une chose à faire et tout de suite.

Je restais interdit, ne sachant pas quoi faire ou dire pour le faire partir. Il n’était pas agressif, il était même plutôt souriant. Toute personne qui nous aurait vu, n’aurait rien put deviner de ce qui était en jeu à ce moment-là. Il était à distance de discussion, aucune pression physique ne transpirait pour les personnes extérieures. Une voisine est sortie de chez elle, m’a adressé quelques mots amicaux, elle ne pouvait pas se douter que l’homme avec moi, qui avait tout l’air d’un ami, n’était là que pour faire de moi sa pute. Cette impression de secret partagé entre lui et moi m’a touché, tout les deux savions ce qui s’était déjà passé entre nous, notre secret, notre discussion, nos actes.

Je l’ai regardé, son regard était fort, inflexible, j’y ai lu son assurance de me faire plier à sa volonté, il n’avait aucun doute sauf celui du temps que je mettrais à prendre le chemin vers la porte.
D’un ton assuré et tranquille, il dit :
-Assez perdu de temps, tu sais ce que tu as à faire.
J’ignore pourquoi je ne lui ai pas répéter de s’en aller, je me suis dirigé vers la porte, il m’a bien sûr suivi.

Aussitôt derrière la porte, il a pris les choses en main. Ordres de me déshabiller, de rester debout main sur la tête et jambes écartées.

Il a pris la parole :
Tu es fier et indocile. J’aime bien, même si c’est très con de croire que tu pouvais décider de plus me voir. Mais bon, tu as essayé et c’est à noter à ton crédit. Il vas pourtant falloir maintenant que tu rattrapes une semaine de vidange alors ça sera triple dose demain et double dose dimanche. A présent, à genoux et présentes moi tes excuses en me taillant ta plus belle pipe.

Il me présenta sa belle queue, bien en face de mon visage.
Alors oui, je l’ai sucé comme jamais j’avais sucé auparavant, avec fougue, patience, intensité, tendresse et force. Il n’a pas tenu longtemps, il semblait même surpris de jouir aussi vite tellement il a été emporté par la chaleur et l’humidité de ma bouche. Il a explosé dans des gémissements affolants, des « Ha, Ha,Ho oui, Han HAN » accompagnaient chacune de ses giclées de sperme n’ayant même pas eu le temps de se retirer pour me facialiser. Je suffoquais sous le flot de son éjaculation puissante et épaisse. Pour la 1ère fois, j’avalais l’intégralité de sa formidable éjaculation.

Il a mis longtemps à revenir sur terre. Ses yeux étaient dans le flou, il semblait dans un état second pendant quelques minutes. Je restais là, à ses pieds, attendant qu’il revienne, du foutre glissant de ma bouche.
Je fus surpris qu’il ne me dise rien, se contentant de me regarder tout en rangeant son beau matos. Son regard était étrange, à la fois comblé mais il y avait autre chose que je n’arrivais pas à comprendre, c’était comme le regard d’un maître satisfait que son chien qui lui ramène son bâton.
Puis il m’a dit avant de partir :
-Demain matin 09h00. A 4 pattes et à poil.

A l’heure convenue, il était là. Il a tenu plus longtemps et m’a inondé le visage.
En partant, il m’a dit : sois prêt à midi et jusque là, gardes mon jus sur ta petite gueule.

Sauf que moi, j’avais du bricolage et du jardinage à faire et je ne voulais pas non plus qu’il se croit tout permis. Le sucer de temps en temps, je m’étais fait à l’idée durant la nuit et ça pouvait me convenir quelque temps jusqu’à ce que je me lasse mais lui aussi devait comprendre que j’avais une vie et que je n’allais pas être tout le temps à sa disposition.
Alors j’ai pris une bonne douche et je suis allé vaquer à mes occupations.
A midi, il revient et me trouve en train d’arroser mes fleurs.

-T’as rien oublié, petite pute ?
-Chut, mes voisins peuvent entendre, dis-je en baissant la voix.
-J’en ai rien à foutre de tes voisins ! Qu’est-ce que je t’avais dit, salope !
Flippé, je lui ai fais signe de parler moins fort mais il s’en moquait complétement :
-Ecoutes, espèce de parc à bites, tu files à ta place et tout de suite !

Pour la 2ème fois de la journée mais sous des insultes nourries qui je l’avoue m’excitaient, je l’ai sucé et il m’a refait un facial terrible. Comment pouvais tu éjaculer autant de sperme ? il y a bien un moment où nous tous les mecs, on jute moins voire quasiment pas. Mais lui non, des éjaculations de gardien de phare après 6 mois en mer quasiment à chaque fois !
Mais il n’avait pas oublié mon impertinence matinale. Peut-être l’avait-il d’ailleurs anticipé, je l’ignore mais il n’était pas venu les mains vides. Je crois vraiment qu’il n’avait pas l’intention d’utiliser le contenu de son sac ce jour-là car tout était encore emballé, pas du tout prêt à l’usage.
-Puisque tu sembles ne pas comprendre ou alors tu joues au con, je vais t’aider. S’il faut te punir pour que tu obéisses, je vais te punir ! J’aurais préféré que tu obéisses par toi-même, mais tant pis pour toi. Maintenant lèves toi, tournes toi le dos vers moi et mets tes mains dans le dos.

J’ai entendu qu’il ferraillait quelque chose dans son sac, un emballage qu’on déchire puis un carton qu’on éventre. Et d’un coup, sa main prend un de mes poignets et je sens la morsure d’une menotte, suivie d’un clac suivi d’un 2ème sur mon dernier poignet libre. Il venait de me menotter ! Je me retrouvais attaché les mains dans le dos, à poil, la bite à l’air face à un homme très motivé pour me punir ! Sans trop de conviction, plaintif, je lui dit
-S’il te plait, fait pas ça. Je t’ai bien sucé non ? On était ok pour des pipes et facials, le reste, on n’en as pas parlé, c’est pas cool de ta part. S’il te plait
Mais il n’arrêta pas, au contraire. Je compris qu’il allait me mettre un collier. Bizarrement je me suis dit qu’il n’avait pas pris un vulgaire collier de clébard, c’était un beau cuir noir aux finitions soignées et aux crochets en beau métal. Il avait un goût classe pour ces choses-là et un goût basique, direct, primaire et vulgaire pour toutes les choses du sexe, ce qui je l’avoue me plaisait. Mais les menottes, ce n’était pas au programme et je n’ai pas apprécié d’être ainsi à sa merci.
-Bon voilà, tu es maintenant officiellement ma chienne, dit il en attachant une chaine au collier d’un air satisfait.
-S’il te plait, enlèves moi tout ç.., mais il me coupa la parole
-Toi, apprends à te taire !
-S’il te plait, j’ai compris qu…
-Tu vas comprendre qu’il faut que tu la fermes. Dans le sac, j’ai une beau baillon boule qui ne demande qu’à servir.
Il bluffe, pensais-je, je ne le crois pas, il me l’aurait mis sous le nez pour appuyer sa menace. Il argumente toujours en prouvant ce qu’il dit et là, il n’a rien montré.
- Ok j’ai merdé, mais tu as eu ce que tu voulais, ça sert à rien tout ça.
- Alors, comme ça, tu me prends pour une pipoteur ? ça, c’est quoi ?
Et là, à ma grande surprise et plus grand dépit, il sort un baillon boule !
-Ça c’est pour après, à présent, à genoux et pompes.
Alors comme je l’avais fait le matin, je pris en bouche sa grosse queue et je lui taillais une pipe sans les mains cette fois ci. Impossible de lui caresser les couilles, impossible de le décalotter et de le branler, ce fut à la bouche, rien qu’à la bouche. J’ai beau être endurant, c’est plus fatiguant, surtout quand on a une bite aussi massive que la sienne à astiquer.
Alors il tira sur la laisse d’une main, bloquait ma tête de l’autre et il se fit plaisir en me baisant la bouche. J’ai apprécié qu’il ne se comporte pas comme un bourrin, tapant au fond, bourrant jusqu’aux amygdales. Il est allé au fond mais ce fut une baise de gueule respectueuse.

Il a fini par un gros facial comme il les aimait tant, très gras et il avait vraiment le coup de main, si je puis dire :
Pour la 1ère giclée, il s’écartait de 5-6 cm de mon visage et visait le haut de mon front. Elle partait comme un coup de fusil, dans un splash surpuissant qui explosait en de multiples coulées sur mon front.
La 2ème était la plus grosse, épaisse, grasse, chaude et visqueuse, là il visait au-dessus de mon nez si bien qu’aussitôt je sentais son jus glissé le long de mon nez, vers mes yeux et ma bouche.
Les giclées suivantes, car il juta encore 2-3 belles avant de fournir des résidus puis des gouttes, il visa les yeux et les joues, si bien que tout ce flot glissat jusqu’à pendre de façon obscène au bout de mon menton ou se figer en flaques visqueuses partout sur mon visage.
Et là, il fit une chose qui me m’humilia comme rarement je l’ai ressenti : Debout face à moi à genoux, je le vis s’approcher de moi, posant ses couilles pendantes sur mon nez et contre mon front, et je senti qu’il posa sa queue sur le haut de mon crâne et là, à ma grande honte, je lui ai servi de kleexex pour essuyer son gland plein de sperme, dans mes cheveux.

-Que voilà un beau sac à foutre ! superbe ! ça vaut une photo ! Voilà, parfait. Je vais y aller, mais je reviens à 18h00 pour ta 3ème dose de la journée, petit veinard que tu es. Il est 12h45, je te laisse tranquille pendant un peu moins de 05h15. Reposes toi, c’est samedi. Bien sur, vu que tu n’es pas très obéissant, je te laisse les menottes et le collier, ça te laissera le temps de réfléchir sur les vertus de l’obéissance.
-T’es fou, me laisses pas comme ça ! je te jures que je serais prêt à 18h00, je gardes ton facial, tout ce que tu me veux mais détaches moi, me laisses pas comme ça, j’ai compris…
-Faux, tu continues à beaucoup trop parler. Réponds : Qui est ma chienne ?
-Moi
-Moi quoi ?
-Je suis ta chienne
-Ok, alors je vais m’occuper de toi comme ma chienne puisque tu me le demandes. Tu vas être une bonne chienne à la niche et surtout qui ne dérange pas les voisins en aboyant. Voyons voir où est ta niche.
Il tira sur la laisse et je dus me mettre debout pour le suivre. J’avais son sperme plein les yeux, j’avais du mal à les ouvrir car ça me piquait, je les entrouvrais et je sentais que ça glissait lentement jusqu’au menton.
-S’il te plait, c’est bon, arrêtes, on a assez joué. Ça va trop loin, qu’est ce qu’il faut que je te dises ? Pitié, me laisses pas comme ça !
-Tu joues toi ? Pas moi. Tiens voilà, j’ai trouvé ta niche. A genoux. Obéis, ne me force pas à tirer ta laisse !

Je me mis à genoux et il me poussa pour me plaquer le dos contre l’escalier, et tendis la laisse pour bien me tenir la tête en l’air et c’est ainsi que je finis à genoux, les mains menottées dans le dos, un collier au cou et une laisse tendue, attachée aux montants de l’escalier. J’étais bloqué, incapable de bouger, recouvert de son sperme. Il exprima sa satisfaction et conclut en disant.
-Voilà, ma chienne. Mais tu parles encore et j’ai dit que tu devais la fermer. C’est pour qui le joli baîllon boule ?

Que pouvais je faire pour m’y opposer, ainsi attaché face à un homme qui me dépassait de plus d’une tête ? Il a placé la boule devant ma bouche, à forcer un peu pour l’ouvrir mais il n’eut pas de difficulté à obtenir ce qu’il voulait, calant parfaitement la boule dans ma bouche et ajustant au mieux son maintien grâce aux 2 lanières en cuir qu’il fixa par une boucle à l’arrière de ma tête. Il se mit ensuite à me prendre en photo, de tous les côtés et fit des gros plans de mon visage plein de sperme et debout devant moi, me regardant comme un objet, il me dit :
-Il est 13h00, tu as 05h00 pour faire ton autocritique et comprendre ta vraie nature.

J’ai passé ces heures à attendre comme un zombie.
Seules les crampes aux bras, à la mâchoire et le mal de genoux me rappelait ma dure réalité. Quelle heure était-il ? Allait-il revenir ? Allait-il me laisser ainsi indéfiniment ? Pendant ces 05h00 qui m’ont paru en durer 10, 20 ou 24, j’ai connu tous les sentiments, la peur d’abord, la crainte physique, la haine contre lui.
Je me suis promis de me jeter sur sa sale gueule de pervers, de lui éclater les couilles à grand coup de genoux, j’étais révolté dans un tourbillon de colère.

Puis je m’en suis voulu, m’insultant de tous les noms de me retrouver dans une telle situation de merde.
Et si quelqu’un me rendait visite et voyant ma voiture, décide de passer la tête à la porte comme cela arrive fréquemment? Elle n'est pas fermé à clé la porte!
Et si quelqu’un me trouvait ainsi, quel mytho allais-je inventer ?
De toute façon, personne ne me croira. Dire qu’un inconnu m’a violé et porté plainte ? Impossible, les flics comprendront très facilement que c’était le jeu sexuel entre 2 adultes consentants.
Consentant, l’étais-je ?
A la face du monde, c’est clair que je l’étais.
Une pipe la veille, une pipe le matin, un facial le midi, j’avais eu tout le temps de refuser.
Mais j’ai accepté.
Oui, je dois l’admettre, j’ai accepté de pomper, pomper et repomper cet homme. Je l’ai accueilli chez moi en toute connaissance de cause et si je me retrouvais ainsi, j’en avais une part de responsabilité.
Et si j’avais obéi, comme prévu dès nos 1ers échanges de mails, comme je m’y étais engagé, oui si j’avais obéi, serais-je ainsi prisonnier de ma propre maison ?
J’avais initié ce que je vivais, j’avais dit à H lors dans nos 1ers échanges de mails que je cherchais un mâle, un mec viril qui savait ce qu’il voulait, qui saurait prendre les choses en main.
J’avais été franc et direct « Si tu es du genre à hésiter, ce n’est pas la peine de venir, tu repartiras les couilles pleines. Par contre, si tu sais prendre ce que je te laisse à dispo, alors tu es le bienvenu et on va bien s’éclater ensemble ».

Je l’avais écris et c’était mûrement réfléchi car j’aime les mecs comme ça et eux seuls me titillent. H n’était que la forme bien vivante et bien réelle de ce que je cherchais. Et je n’avais reçu que ce que je méritais car lui, il allait au bout, il poussait toutes les manettes à fond. Ok, tu veux sucer alors ça sera tous les jours. Ok tu aimes les facials, t’auras des facials de folie. Ok tu veux un mâle directif, dominant, tu vas en avoir un et un vrai, pas en pacotille.

J’ai décidé d’attendre.
Si le jour s’en allait, c’est qu’il était largement plus tard que 18h00 et qu’il faudrait que je trouve une solution mais laquelle ?
Et peut-être tiendrait il parole ? Jusqu’à présent, tout ce qu’il avait dit était vrai. Il a toujours fait ce qu’il a prévenu de faire. A chaque fois, les choses étaient définies clairement et j’ai toujours su sans équivoque ce qu’il attendait de moi, ce que j’aurais à faire pour le satisfaire. Et quand ce ne fut pas le cas, pour ma faute, j’ai subi une punition.
J’ai subitement été convaincu qu’il serait là à 18h00 précises et que tout se passerait bien, du moment où je ferais ce qu’il veut.
Et ce qu’il veut, c’est une chienne pour lui vider les couilles. Si je le faisais, je n’avais rien à craindre. Alors oui, je le sucerais et bien. Oui, si je suis disponible, je lui viderais ses si belles couilles et oui, je lui boufferais sa si belle queue. Je la voyais sa queue, elle était présente dans mes esprits comme un totem et je la trouvais belle. Elle était belle, puissante, massive, vigoureuse, à l’image de cet homme.

Submergé par l’intensité des sentiments qui m’agitaient, cassé physiquement par mes menottes, mon collier de chienne, engourdi dans une position d’objet, j’ai lentement glissé dans une sorte de sommeil d’où j’ai émergé dans un sale état et étrangement avec une violente érection.
Mon sexe était dur, je sentais mes couilles se crisper au contact du carrelage froid et mes tétons si sensibles, si nerveux étaient pointés comme ma bite dans des allures obscènes. Quelque chose en moi aimait ce que je vivais, je me suis vu par flash dans une cage, ligoté, bâilloné, j’ai senti des frissons de plaisirs d’être l’humilier, d’être asservi. J’ai désiré qu’H décide de me garder, d’être capable de combler un homme tel que lui car j’avais la chance qu’il m’ai choisi.

Il arriva sans dire un mot. Il détacha le collier et retira mes menottes. Il me fit signe de le suivre.
Quand il eu été assis, il me montra le sol devant lui, la place qu’il m’attribuait. Puis il pris la parole :
-Tes genoux doivent être douloureux, n’est ce pas ? Assis toi par terre devant moi, adosses toi au meuble, écartes les jambes, mieux que ça, je veux voir ta queue et tes couilles. C’est bien, poses tes mains sur tes genoux.
Alors, écoutes moi bien, je vais être très clair et je ne vais pas me répéter.
Des suceurs, y’en a partout. Des soumis comme toi, beaucoup moins et des chiennes, ça court pas les rues.
Je parle des vraies chiennes, pas les joueurs, les vraies qui obéissent aux claquements de doigts, celles à qui je peux tout faire sans qu’elles disent non. Toi t’en est une mais tu penses encore que c’est pour de faux, que c’est un jeu et qu’on est potes.
Tu l’admets pas parce que ça te dérange le cerveau mais admets le une bonne fois pour toute, tu es une chienne.
On n’est pas pote. Pour moi, tu n’es rien d’autre qu’un vide couille, t’as des couilles et une queue mais c’est de la déco, tu n’as pas le droit de t’en servir car tu n’en es pas digne. Pour s’en servir, faut se comporter comme un homme, un vrai, avec des burnes en acier trempé. Le burné, c’est celui qui commande et l’indigne, il obéi. Tu peux prétendre au monde entier que tu es un mec et que tu as des couilles au cul mais on sait toi et moi que c’est bidon et que les seules couilles que tu videras, c’est les miennes. Que les miennes car tu es à moi.
Ça te parait choquant ce que je te dis mais saches que tes états d’âmes, j’en ai rien à foutre. Tes envies, c’est pareil.
Aujourd’hui je t’ai mis à ta place. Alors à présent, tu as un choix à faire. Sois tu admets que tu es MA chienne, tu baisses la tête, tu baisses les yeux, tu obéis en disant « Oui, Maître », soit c’est la dernière fois qu’on se voit.

Il a planté son regard dans le mien, il était clair et net, sûr de lui voire inflexible.
J’ai baissé le regard et la tête et j’ai dit « Oui, Maître ».

A suivre, si cela vous intéresse bien sûr.

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