Après avoir présenté il y a presque un an jour pour jour la Beoplay A1, B&O Play persiste et signe sur le terrain des enceintes portables compactes en dévoilant aujourd'hui la P2, enceinte sophistiquée à l'ergonomie originale.

Entre "B&O Play" et "Beoplay", votre cœur balance ? Le premier représente tout simplement la marque fille de Bang&Olufsen qui se veut streetwear et beaucoup plus accessible que sa mère — mais qui reste malgré tout très chic et pas donnée —, tandis que le second est accolé aux noms de produits : Beoplay A1, Beoplay A2, Beoplay M5...

 

Ces produits sont conçus par la designer danoise Cecilie Manz, dont les talents ont à nouveau été mis à contribution pour la petite dernière des enceintes portables B&O Play. Celle-ci, décrite à juste titre comme la plus compacte, reste fidèle à la philosophie esthétique de la marque danoise, à savoir un mariage entre formes féminines (rondes, lisses, perlées) et matériaux masculins (aluminium, cuir). Elle a en outre la particularité d'être entièrement dépourvue de boutons : les commandes sont en effet invisibles et personnalisables via l'application — pour mettre le morceau en lecture ou pause, tapotez deux fois sur la grille acoustique en aluminium, pour changer de piste, agitez l'enceinte comme un shaker.

Il est aussi possible de s'en servir comme d'un radio-réveil en choisissant le morceau avec lequel on souhaite ouvrir les yeux, ou encore de changer l'égalisation fréquentielle. À propos de son justement, B&O Play promet une restitution "riche et profonde", une puissance de 100 W (peak...), une diffusion à 360° et une captation des voix par le microphone (pour le kit mains-libres) tout aussi omnidirectionnelle. On ne dispose en revanche d'aucune information concernant l'autonomie.