Cette joint-venture, qui n'a pas encore de nom officiel, sera détenue à 70 % par les deux sociétés. Le reste du capital sera réparti entre diverses sociétés à capital-risque. La nouvelle entité basée à Taïwan sera dotée d'un budget de 13,7 millions de dollars.
Pour info, E-Ink a vu le jour en 1997 dans les laboratoires du MIT avant d'être rachetée en 2009 par Prime View International (PVI), société taïwanaise. La technologie e-paper a été largement répandue dans bon nombre de produits, dont les liseuses et tablettes de chez Sony. D'ailleurs, c'est le géant japonais de l'électronique qui a été le premier à utiliser cette technologie en 2004 avec la Sony Librie.
Puis est arrivé Amazon et ses fameuses Kindle, suivi par d'autres fabricants de liseuses. La technologie E-Ink est également apparue pour la première fois sur un téléphone mobile, le Yotaphone.
On espère qu'avec cette joint-venture, Sony revienne sur le marché des liseuses, abandonné depuis 2014.
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