Nous conversons maintenant sur le net depuis de longs mois après une rencontre sur le fameux site pour infidèles. Nous avons échangé nos envies et puis nos fantasmes et enfin quelques photos et vidéos de plus en plus coquines. Après de longues tergiversations peuplées de culpabilité et de désir nous nous donnons enfin rendez vous pour une première rencontre.
Il fait bon ce soir d’été, le ciel est teinté d’une belle couleur orange. Nous avons rendez-vous à la terrasse d’un café restaurant pas loin des bords de Garonne. Le genre d’établissement où l’on dîne d’une salade de pays ou de plancha (pas de la grande gastronomie) mais où le vin est bon. Tu es en retard, je t’attends impatient, vêtu d’un pantalon de toile jaune ajusté, d’une chemise bleu pâle et d’une veste de costume bleu que j’ai posé négligemment sur le dossier de ma chaise. Soudain je t’aperçois, tu avances d’un pas décidé, enveloppée dans une petite robe bleue à bretelles, simple mais classe, les talons de tes escarpins noirs claquent sur les pavés. Tu t’assieds en face de moi, non sans m’avoir déposé un baiser appuyé au coin des lèvres. Je t’observe en souriant, tu as souligné tes yeux de noirs, un soupçon de rouge sur tes lèvres, tes yeux verts pétillent d’un air espiègle. Nous nous dévorons enfin du regard après de longs mois d’échanges virtuels, hésitant à parler.
Nous commandons une bouteille de Sancerre blanc et une salade et commençons enfin à deviser joyeusement en dégustant le vin. Je te couvre des yeux, m’attarde sur tes cuisses découvertes par ta robe quand tu t’es assise, ma main effleure la tienne, nos jambes se frôlent, j’ai envie de toi et je te le dis. Tu rougis un peu et m’intime d’être sage alors que nos salades arrivent. Nous mangeons d’un bel appétit pendant qu’un orchestre s’installe au rez-de-chaussée du restaurant et commence à jouer des airs connus pour faire danser les clients du bar ou du restaurant. Tu me demandes de te faire danser, ça tombe bien je n’ai qu’une envie c’est de te faire virevolter dans tous les sens. Nous dansons un Rock, puis une salsa, mes mains s’égarent sur ton corps, tes joues sont rougies. Le zouk achève de nous mettre dans l’ambiance, ma jambe entre tes cuisses a fait remonter ta robe, ma main caresse tes fesses sent le dessin d’un string sous la robe.
Tu sens mon excitation et te serres contre moi, tu ne perds rien pour attendre. Nous reprenons notre souffle en reprenant un verre, nous sommes un peu ivres, ma bouche attrape la tienne, puis un autre baiser voit ma langue caresser doucement la tienne. Ma main s’égare sur la peau douce de tes cuisses, et remonte doucement sous la robe ; je te demande quel string tu as mis, tu me réponds que c’est une surprise. J’espère que c’est le string noir en dentelles que tu as acheté rien que pour moi et que j’ai découvert au gré d’une vidéo torride. Tu poses ta main presque distraitement sur mon entrejambe et palpes la grosseur qui marque mon excitation. Je te propose de danser encore mais tu préfères aller marcher, nous voilà donc main dans la main au bord de la Garonne. A un moment je t’entraîne entre les buissons contre un arbre, je t’embrasse, mes mains caressent tes fesses sous ta robe en te serrant contre mon érection, je descends jusqu’à ton entrejambe et découvre une zone humide, que je caresse du bout des doigts, l’humidité se transforme rapidement en inondation et ton souffle s’accélère. Tu te frottes contre mon sexe et ta main caresse mes fesses. Nous arrêtons là avant d’être arrêté pour attentat à la pudeur et filons dans un petit hôtel dans lequel j’ai réservé une chambre.
A peine arrivés dans la chambre tu me pousses sur le lit défait mon pantalon et baisse mon boxer, découvrant mon sexe dressé et décalotté. Tes yeux me fixent pendant que tu me lèches de bas en haut puis m’enfournes le plus loin possible au fond de ta gorge. Tu alternes les vas et viens avec ta bouche brulante et la masturbation avec ta main. Je suis trop excité pour tenir plus longtemps, je te préviens que je vais jouir, je sais par nos échanges que tu adores ça, je t’attrape par les cheveux et dans un râle je me vide au fond de ta bouche. Tu me regardes fièrement en avalant ma semence et me nettoies avec application. Je te relève et t’embrasse goulument sur la bouche, je sens le goût de ma jouissance dans la tienne. Je te retire ta robe et découvre le magnifique string noir en dentelle évanescente, je te retourne pour me délecter de la vue de tes fesses sensuellement séparées par le string. Je te demande te t’allonger sur le lit sur le ventre, pendant ce temps je sors de l’huile de massage. Je finis de me déshabiller et me chauffe les mains avec l’huile puis je commence à te masser les épaules. Je sens tes muscles se dénouer sous mes doigts, je descends sur le dos, puis je passe rapidement sur les fesses pour m’attaquer à tes cuisses. Tu écartes langoureusement les jambes, mes doigts effleurent ton intimité encore couverte du string, mais sans plus. Je descends sur les mollets, effleurent tes pieds encore chaussés des escarpins, puis remontent de nouveau jusqu’aux cuisses. Je t’enlève ton string, et recommence à masser tes fesses de plus en plus près de ton sexe béant que je vois suinter de ton excitation.
Tu ondules pendant que mes doigts massent de part et d’autre de ta vulve en l’écartant doucement dans un délicieux bruit humide. J’écarte enfin ton sexe luisant de deux doigts et caressent tes lèvres, tes gémissement se font de plus en plus fort. Je te pénètres alors d’un doigt, rapidement rejoint par un second que je fais onduler en toi. Mon sexe redurcis devant le spectacle de ton sexe béant et de tes lèvres gonflées de désir. Tu inondes ma main de sécrétions qui coule sur le lit, je n’ai jamais connu une femme qui mouille autant que toi.
Je me penche vers toi et ma bouche prend le relais de mes doigts, je te lèche de haut en bas, consciencieusement aspire tes lèvres une à une, délicatement. Tu râles de plaisir et je crois comprendre qu’il ne faut pas que je m’arrête. J’écarte bien ton sexe pour te pénétrer avec ma langue, je sais que tu adores ça, tu te cambres pour aller à la rencontre de ma langue que je fais aller et venir en toi. Je la remue, un long moment en toi en buvant avec plaisirs tes sécrétions. Je remets deux doigts, puis un troisième dans ton sexe bouillant pendant que ma langue s’aventure doucement plus haut sur ta corolle, je sais que tu n’es pas commune de cette caresse tu te raidis, je pense que tu vas renâcler mais au petit cri que tu pousses je comprends que tu viens de jouir. Tu ondules des hanches en gémissant et tu me demandes de te prendre. J’enfile le préservatif sur mon sexe douloureux d’excitation et l’approche de ta vulve que je caresse de mon gland sur toute la longueur, allant même titillé ton œillet et te pénètres enfin d’une longue poussée savoureuse. Je commence des vas et viens profonds de toute la longueur de mon sexe qui ne tarde pas à être trempé de ton plaisir. Tu es tellement humide qu’une tache se forme sur le lit, tu te redresses à quatre pattes et j’accélère mes mouvements, accompagné par le bruit humide et terriblement excitant de ma queue te fouaillant. Je te dis que j’adore te prendre comme ça, que tes fesses sont trop excitantes. Je sens mon sexe durcir je gémis en cœur avec toi. Tu jouis dans un râle mais je continue à te pilonner, puis je te retourne pose tes jambes sur mes épaules et te pénètres doucement de nouveau. Je me penche et saisis un de tes tétons entre mes lèvres et l’aspire pour le caresser du bout de la langue pendant que mon sexe va et vient doucement en toi. Mes mouvements se font plus rapides, je sens le plaisir qui monte, je me fais plus animal, te pénétrant rapidement et avec force. Je me retire au moment final, tu m’attrapes par le sexe et me tire vers toi et je jouis enfin dans ta bouche éclaboussant au passage ton visage. Ce n’est que le début d’une longue nuit.
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