J’avoue, j’ai un peu hésité. Ma première expérience avec un bracelet connecté de la marque américaine Fitbit (que j’avais acheté) avait mal fini : l’objet s’était détaché sans préavis de mon poignet.
Une mésaventure apparemment fréquente, si l’on écume les blogs et forums. Il y a même une appli (payante) pour ça ! Fitbit Finder se targue d’avoir aidé à retrouver plus de 10 000 bracelets.
Mais si Fitbit est devenu « le Kleenex du marché des moniteurs d’activité », ce n’est pas parce que ses bracelets seraient jetables, sachant que l’objet vaut tout de même une centaine d’euros : le magazine de high-tech Wired l’a qualifié ainsi parce que la marque est désormais le nom générique de cette catégorie de produits.
Elle en a vendu plus de 21 millions d’exemplaires l’an dernier et revendique près de 17 millions d’utilisateurs actifs. Ce qui donne incidemment une petite idée du nombre de « moniteurs d’activité » au repos forcé, délaissés au fond d’un tiroir ... ou perdus.
Prévoyante, la marque me prête pour ce test deux sacs entiers de bracelets interchangeables (entre 30 et 100 euros chacun) et deux modèles à tester une semaine :
- la Blaze, une montre connectée (230 euros) ;
- et l’Alta, un moniteur d’activité plus classique qui donne l’heure (140 euros).
Le test de la montre Fitibit Blaze
Mastoc et toc
En déballant la Blaze, aux airs de copie approximative et low-cost d’une montre japonaise vintage, on n’est pas impressionné, voire carrément, euh, blasé : c’est en fait un petit moniteur carré à clipser dans un cadre octogonal en acier, laissant un espace vide de chaque côté....
Lire la suite : Des bips et un peu d’effort : ma semaine avec le nouveau bracelet Fitbit