Claire et ses coquines confidences - Histoire Erotique

Erotique

Claire quel joli prénom n'est-ce pas ?

Et bien me croirez si je vous dit qu'en plus d'être très jolie et très joueuse cette belle coquine m'a contacté après avoir lu quelques uns de mes récits pour me demander si j'aimerais être son confident et écrire ses aventures. Depuis son adolescence la jolie Claire a toujours été attirée par l'interdit. Elle inventait des histoires pour sortir en cachette, à l'insu de ses parents, au collège elle falsifiait son carnet pour sortir de l'enceinte de celui-ci. Plus tard c'est à l'insu de son mari qu'elle vivait de coquines aventures, toujours pour braver l'interdit mettre du piment dans son quotidien. Pourtant elle n'aurait jamais voulu blesser ceux qu'elle aimait et elle restait prudente et habile dans ses cachotteries.
Claire avait un mari coquin, ils jouaient souvent à de petits jeux d'exhibitions, le samedi souvent il sortait en ville et il lui demandait de porter des tenues sexy, une jupe courte, un chemisier moulant ou transparent, de ne pas porter de culotte ou de faire en sorte qu'on l'aperçoivent.... La venue des enfants a assagi leurs petits jeux sans pour autant sombrer dans l'ennui, Claire a ouvert à nouveau les yeux vers la tentation et le plaisir de séduire les hommes qui lui plaisaient.

Elle m'avait confié avoir eu de nombreuses aventures avant son mariages, puis après quelques années de mariages en avoir eu quelques autres pour enfin n'avoir plus qu'un seul amant, le meilleur ami de son mari.

Nous avons donc décidé que c'est par lui et leur première fois que nous commencerions à conter ses aventures. A partir d'ici le « Je » employé dans mon récit prendra la place de la belle Claire et c'est à la première personne que je m'adresserais à vous comme si je vivais les aventures de Claire en les écrivant. Chaque avancée dans le récit lui est donnée en exclusivité pour qu'elle accepte mes mots et accepte que je vous en face cadeau.

Charles

Ce week-end mon mari et moi sommes invités à un mariage champêtre, celui de ma meilleure amie.
C'est l'été et il fait très chaud, j'ai choisi une jupe légère fleurie et un petit haut très court, des scandales à talons lassées sur mes mollets. Mon mari m'a dit en partant qu'il adorait cette tenue qui montre mon nombril . Le mariage de mon amie à lieu dans un château qui laisse à disposition son parc et les écuries transformées en salle de réception.

Pendant la cérémonie à la mairie je me suis retrouvée à côté de Charles le pote d'enfance de mon mari. J'ai tout de suite remarqué qu'il lorgnait sur mes seins moulés dans mon petit haut et que assise à côté de lui avant que je sois invitée en tant que témoin de mon amie, il louchait sur mes cuisses bronzées, huilées. Sa femme Patricia m'avait confié un jour que j'étais son idéal féminin, par mes tenues vestimentaires toujours sexy et mes attitudes un peu provocatrices.Je l'avais pris comme un compliment en même temps qu'un avertissement d'un air de dire

« Garde tes distances avec lui , je t'ai à l'oeil ».

Quand le maire a appelé les témoins, je me suis levée et j'ai frôlé ce coquin, mes fesses frottant sont corps et me suis glissée dans la rangée pour rejoindre l'autel. J'ai senti son regard sur mes fesses jusqu'à se que je me retourne vers l'assemblée.
Les vœux prononcés Mathilde après avoir embrassé son mari nous a lancé :

« Allez il est temps d'aller fêter notre bonheur....... »

Nous reprenons nos voitures respectives pour nous rendre au château. Mon mari en conduisant me pose sa main sur la cuisse et me dit que je suis super jolie, j'ouvre les cuisses et le laisse remonter jusqu'à ma petite chatte enveloppée dans une petite culotte de satin blanc.
Hélas la distance qui nous est courte et il n'a pas eu le temps de vraiment me caresser. Il me glisse toutefois : « Tu es super sexy ma chérie »

J'apprécie son petit mot gentil et me dis que peut-être en rentrant commettrons nous quelques folies.
Quand nous descendons de la voiture pour nous rendre à la réception une bourrasque de vent soulève ma jupe. Je me retourne pour voir si personne ne nous suis. Seul Charles est derrière nous à un vingtaine de mêtres, à son sourire je devine qu'il a vu que je portais un string. Patricia est déjà loin devant, je fais ma provocatrice et laisse voler ma jupe à chaque bourrasque.

On arrive tous les trois en même temps dans la cour d'honneur du château. Charles me frôle et me glisse gentiment.

« Fais attention ta jupe vole au vent et on voit tes jolies fesses »

Je suis un peu surprise par ses mots, un mélange de précautions et de compliments me signalant qu'il a apprécié le spectacle. Heureusement mon mari ne s'est aperçu de rien et Patricia non plus.
Je sais que Charles a un petit penchant pour moi mais c'est le mari de mon mari et sa femme est assez proche de moi. L'ambiguïté entre Charles et moi à un côté excitant, celui des fruits défendus mais jusque là je n'aurais jamais pensé qu'il puisse y avoir un passage à l'acte.

La soirée s'est vite emballée, nous avions chaud et se rafraîchir avec le cocktail a été fatale dans nos comportements. C'était un état quasi général, tout le monde rigolait, parlait plus fort qu'à l'accoutumée. Une série de rock a mis le feu à la piste de danse et je crois bien que la moitié de l'assemblée à vu que je portais un string. Patricia s'était fait happée dans la salle d'à côté par la famille plus sage de cette soirée. Yves mon mari m'avait abandonné pour discuté avec de vieux potes retrouvés. Je prenais l'air sur la terrasse du château quand Charles un peu trop émêché m'a abordé.
« Putain Patricia qu'est que t'es sexy ce soir avec ton ventre nu, tu me rends dingue »
« Arrête tu es fou que va penser Patricia »
« Crois tu que je vais me risquer à lui dire ça, dis moi la vérité, tu aimes bien quand je te mate, non ? »
«  J'avoue mais on est marié tous les deux et on a des enfants tous les deux »
« Crois tu qu'on serait les premiers à se faire plaisir »
Puis il me provoqua en me disant qu'il avait trop envie de se soulager en se branlant.
Je lui répondis « Arrête tu déconnes t'es pas chiche »
Quelle folie m'avait prise de lui répondre ça. Il me répliqua suit moi si tu me crois pas.
Puis il se dirigea derrière les grands arbres du parc. Sûrement sous l'emprise de l'alcool moi aussi je l'ai suivi avec un peu de retard. Quand je suis arrivé derrière lui il était appuyé contre un arbre le pantalon ouvert et déjà la main en pleine action.
Je suis resté figé à le regarder. J'étais choquée et excitée en même temps le mouvement de sa main sur sa queue, par cette incroyable situation. Le meilleur pote de mon mari se branlant devant moi, pour moi.
« Approche toi si tu veux »
Hypnotisée je me suis approchée.....j'étais si proche que je n'ai pas résisté à tendre la main. Je regardais sans cesse en arrière voir si quelqu'un approchait, j'étais tétanisée de peur et d'excitation.
Ma main a remplacé la sienne. Je le branlais face à lui. Il ne bougeait pas se laissais faire. J'avais peur que cela aille plus loin. Mais il ne me demanda rien. Son excitation montait il haletait, gémissait. J'avais peur qu'il me souille et je me suis mise à côté de lui...changeant de main j'ai repris mes mouvements, pressée qu'il explose pour pouvoir retourner à la fète sans etre remarquée.
Il s'est mis à râler à plier les genoux et s'est libéré à longs jets. Je crois que je n'avais vu un homme se répandre autant. Heureusement que je n'étais pas restée en face de lui. Un dernier jet moins puissant coula sur ma main, la souillant copieusement.
Je l'ai lâché aussitôt, l'abandonnant la queue molissante. J'ai rapidement essuyé ma main dans le gazon, terriblement affolée par les conséquences qu'auraient pu avoir ce jeu totalement fou.
Je me suis dirigé dans les toilettes de la réception pour finir de me laver les mains.
Mon coeur battait à cent à l'heure. Mais j'étais en même temps très excitée encore.

J'ai évité de croiser le regard de Charles le restant de la soirée et la compagnie de Patricia me
m'était très mal à l'aise. Enfin quelques verres plus loin, la musique le retour de mon mari, on fait passer la soirée à une vitesse fulgurante.

Tard dans la nuit n mon mari et moi quittâmes la soirée pour rejoindre notre hôtel, tout proche.
Nous n'avons pas échangé un mot durant le parcours certes très court. A peine dans la chambre mon mari m'a passé une main aux fesses. J'étais encore perturbée, excitée et je me suis cambrée mains sur le lit pour qu'il me prenne sans attendre. J'ai joui très fort sans me masturber chose rare dans nos rapports. Yves m'a inondé rapidement déclenchant un deuxième orgasme.

Ivres et épuisés on s'est effondrés sur le lit et aussitôt endormi. Le sexe de Charles ne quittant pas mes songes.

Je reviendrais bien entendu vous conter la suite si vous avez aimé mon récit, cette pure folie.

Les jours suivant notre folle soirée je fus prise d'un double sentiment. Je me sentais coupable et en même tant cette folie me hantait, me revenait. Je pensais à Patricia qui était mon amie aussi comme Charles était celui de mon mari, que l'un de nous deux commette une maladresse me torturait quant aux conséquences désastreuses pour nos deux couples.
Mais dès que je fermais les yeux je revoyais cette queue arrogante qui me défiait....j'avais l'impression de la sentir encore dans ma main, de sentir son sperme qui avait coulé sur mes doigts et ce souvenir me rendait toute « chose », un état très particulier avec l'envie irrépressible de recommencer. Mais chaque fois je repensais aux risques, aux conséquences et jusqu'où cela risquait de nous mener.
C'est Charles qui le premier repris contact avec moi. Il me savait au boulot et en avait profiter pour m'envoyer un sms.
« Claire, j'aimerais que l'on reparle de notre coup de folie....bisous ma belle »
Son message était à la fois inquiétant et excitant, ambivalent dirais-je. Coup de folie étant une chose à effacer, régler, ma belle une invitation....
Je lui répondis «  Oui si tu veux je crois que c'est important de faire le point ». Je restais distante mais je lui fit part de mes dispositions et que le vendredi qui arrivait je ne travaillerais pas et qu'il me serait facile de me libérer.
Quelques minutes plus tard il me répondit que c'était idéal et que comme il ferait beau on pourrait se donner rendez vous au bord de l'Ain sur le parking après le pont de Priay, côté camping.
Il fut convenu de se retrouver à midi et demi, lui finissant son travail à midi et ainsi pouvant me rejoindre et faire la route.
Aussitôt notre conversation effacée je profitais d'être seule dans mon bureau pour glisser ma main dans ma petite culotte trempée. Je me suis doigtée en repensant à sa queue giclant comme je n'en avais jamais vu aussi généreuse, et ses contractions dans ma main. Hum le plaisir m'a saisi alors que j'avais deux doigts bien plantés en moi.
Encore un coup de folie, qu'allait il se passer à ce rendez vous si je ne me tenais pas plus sur mes gardes.....

Jeudi soir petite baise sans réel plaisir avec mon mari, le train train c'est la mort du désir. Avec les enfants à la maison finies les galipettes improvisées sur le divan, la table de cuisine, finie la liberté de crier de plaisir, tout en retenue.....
En même temps je me dis que si ça tourne à la coquinerie demain avec Charles, je n'aurais pas à prétexter un coup de fatigue si mon mari veut un petit plaisir. Enfin ce vendredi soir nous sommes d'apéro alors peu de chance que la soirée finisse coquinement.
Je me suis réveillée plusieurs fois cette nuit précédent notre rendez vous. L'anxiété montant, tout comme le désir, l'excitation. J'imaginais Charles me plaquant dès mon arrivée contre sa voiture, son désir déjà gonflé appuyé contre mon ventre. J'imaginais son sourire craquant, son corps musclé que je connaissais pour l'avoir vu quand nous sortions en famille à la rivière ou au lac pas très loin de chez nous. Mais je me suis réveillée plusieurs fois aussi en pensant que Yves avait des soupçons sur mon emploi du temps, que Patricia se fâchait avec moi, au nom de ma trahison.
Ambivalence de mes désir une fois de plus, tout arrêter dire à Charles que nous devions oublier cette douce folie qui s'était emparée de nous, dire à Charles qu'au point où on en était autant en profiter pleinement, deux contradictions perturbantes.

Le jour « J » je vaquais à mes occupations ménagères, les enfants à l'école, inscrits à la cantine.
Vers onze heure je me décidai pour une tenue pas trop affolante bien que.... J'optai pour un petit short en jean, mes baskets blanches en toile, un tee-shirt blanc léger, j'avoue qu'un brin coquine j'ai oublié de mettre un soutien-gorge. Toujours cette ambivalence être séduisante mais pas trop. Une folie sûrement j'avais tant de fois surpris le regard de Charles fixé sur ma poitrine. Mon 90C le faisait rêver, Patricia portait du 90B en poire avec beaucoup de complexes.....bon j'avais évité la petite robe à fleur et à bouton que je déboutonnais souvent plus que de raison mais....

Quand j'arrivais sur la parking convenu Charles était appuyé sur sa voiture, face au soleil. Il était trop craquant et dès l'instant où il me sourit je sus que je ne résisterais pas s'il me proposait de poursuivre notre aventure. On s'embrassa comme si de rien, en deux bons vieux amis. On avait tous les deux peur d'être vus, reconnus si bien qu'il me proposa de monter dans sa voiture.
Nous avons essayé l'un et l'autre de nous persuader que nous avions cédé à la tentation sous l'emprise de l'alcool et de l'ambiance de la soirée. Ambiance à la rigolade mais toutefois sage. Nous n'étions crédibles ni l'un ni l'autre. Chaque fois que je me retournais vers Charles je le surprenais fixé sur mes seins. Certes je n'avais pas de soutien-gorge, certes mes pointes étaient visibles mais le désir de Charles me crevait les yeux. Finalement je me suis penchée vers lui et c'est moi qui ai fait le premier pas, le premier faux pas, sans compter celui de la fameuse soirée, mes lèvres n'ont pas résisté à la tentation des siennes.

Notre premier baiser a été magique, langoureux, passionnel, interminable et délicieux...Sur nos gardes nous avons interrompu notre baiser pour regarder autour de nous, nous avions très peur d'être surpris. Puis ne pouvant résister à la tentation c'est Charles qui est venu cueillir mes lèvres pour un nouveau baiser.
Reprenant notre souffle j'ai remarqué qu'une fois de plus il était fasciné par ma poitrine. Il n'osait pas se décider à s'en emparer, j'ai souri et j'ai pris sa main pour la poser sur mon sein en soulevant mon tee shirt de l'autre main. Charles à repris ma bouche sans lâcher mon sein qu'il façonnait à merveille. Sa main est descendue sur mon ventre est passée entre mes cuisses et est aussitôt remontée vers mes seins. Nous avons interrompu une fois de plus nos baisers pour s'assurer que personne n'approchait.
Je me suis hasardée à caresser la queue de Charles à travers son jean. Hum doux rappel de notre folle soirée. Je la sentais bien dure et je me suis glissée dans son pantalon et sous son caleçon après avoir dégrafé sa braguette. Je l'embrassais à nouveau toujours aux aguets mais sans lâcher sa belle tige. Je le branlais comme je l'avais fait l'autre soir. J'avais un tel désir que ma culotte était toute trempée.

J'avais très peur cependant mais rien ne pouvait m'arrêter et j'ai plongé lâchant ses lèvres pour happer sa belle queue. J'ai failli jouir tellement j'en avais envie. Je le suçais et en même temps je pensais à mon mari, à mon amie, je m'en voulais, me disait que ce que nous faisions était « dégueulasse » vis à vis deux et pourtant ma bouche se faisait gourmande, de plus en plus gourmande. J'interrompis ma pipe goulue pour surveiller la venue éventuelle d'un curieux, ma main ne lâchant pas cette divine queue bandant pour moi. Personne et ce divin gland luisant de salive qui me réclamait. Je replongeais le happant à nouveau, mes lèvres comme un anneau, resserrées sur sa hampe. Cette tige qui grossit encore, semble vibrer dans ma bouche, une perle de désir s'échappe de son méat. Je la ramasse de ma langue en savoure le goût légèrement salé. Puis à nouveau un regard pour surveiller si... Je demandai alors à Charles de se libérer de son pantalon et de son caleçon...et replongée vers ma proie. Oh cette tige et surtout les mouvement du corps de Charles à chaque descente, aspiration. Je le tète comme une biberon, le l'engloutis comme un esquimau à la vanille. Je masse ses belles couilles bien gonflées, je masse sa prostate je sais que de cette manière il en jaillira une plus grosse quantité de nectar. J'ai appris ça il y a déjà longtemps avec mon mari. Celui-ci revient me hanter à ce moment, petit instant de culpabilité bien vite oublié devant le plaisir que je prenais à sucer Charles.

J'ai senti Charles gémir, se contracter. Il m'a balbutié pour m'avertir de l'imminence de son plaisir.

« Arrête tu vas me faire jouir, j'en peux plus »

Mais j'ai englouti de plus bel son engin qui tressautait, je l'ai senti giclé et je l'ai gardé jusqu'à la fin de sa jouissance ne laissant pas une goutte de son nectar se perdre. Ce fut une explosion, un feu d'artifice dans ma bouche. J'ai attendu la dernière contraction de sa queue et j'ai lécher son gland pour ne laisser aucune trace de son plaisir.
Et à ce moment j'ai eu un flash une sensation inouie quand je l'ai regardé en essuyant ma bouche.
Ces yeux disaient :

« Putain quelle salope, putain je l'aime, putain j'y crois pas... »

Un souvenir que je n'arriverais jamais à effacer, ce bonheur, cette plénitude devant son plaisir, sa reconnaissance affichée dans ce regard. Ce que j'attends trop souvent de mon mari, là je l'avais enfin. J'ai appris plus tard qu'il ne recevais jamais cette caresse de sa femme d'où son étonnement, sa surprise et cette reconnaissance dans ses yeux.

Puis coup de panique il s'est rhabillé et on s'est quitté comme des voleurs juste en frôlant nos lèvres, sans un mot fuyant cet endroit qui pourtant allait devenir notre lieu d'ébats favori. Je suis remontée dans ma voiture et j'ai aussitôt quitté le parking.

Seulement quelques kilomètres plus loin n'y tenant plus j'ai glissé ma main sous mon short et trouvant ma chatte trempée ma culotte inondée et en moins de trente seconde j'ai atteins la jouissance.
Arrivée à la maison, personne j'ai pris une douche et changé ma culotte, témoin de mon délit.
Je savais que nous ne pourrions plus en resté là et que notre liaison n'en était qu'à son début. Pourtant je me sentais sale vis à vis de nos conjoints. Mais son regard après sa jouissance jamais je ne pourrais m'en passer.

Je reviendrais sûrement avec plaisir vous conter la suite, vous dire tout ce que j'ai donné à Charles.
Car ce parking où nous avions eu si peur d'être surpris deviendra notre lieu favori, pour nous ébattre et j'ai vraiment ici donner beaucoup à Charles. J'espère que vous avez aimé mes confidences et que vous aurez envie de découvrir toutes mes folies.     

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