Le nouveau smartphone, dont Samsung a suspendu les ventes le 2 septembre, est pointé du doigt par les compagnies aériennes et les autorités, et mis en cause dans deux incendies.
Depuis que Samsung a annoncé, le 2 septembre, qu’il suspendait les ventes de son nouveau smartphone, le Galaxy Note 7 n’a cessé de faire l’objet de nouvelles angoissantes. Les incendies de batterie signalés dans plusieurs cas lorsque l’appareil était en charge ont entraîné une vague de recommandations et d’interdictions.
En particulier dans le secteur aérien. Première à ouvrir le bal, l’autorité américaine de l’aviation, la FAA, a « fortement recommandé » aux passagers, le 8 septembre, de « ne pas allumer ou recharger ces appareils à bord d’un engin volant et de ne pas les ranger dans un bagage enregistré » [allant donc en soute, ndlr].
Idem en Australie et au Japon, où les autorités ont demandé aux passagers aériens les mêmes précautions.
Une voiture et un garage détruits
Le smartphone est de plus accusé d’avoir provoqué deux accidents aux Etats-Unis, l’un et l’autre sans blessés, mais avec des dégâts matériels non négligeables.
En Caroline du Sud d’abord, c’est le garage d’un particulier qui a été détruit par les flammes, dimanche 4 septembre, dues au smartphone en recharge, selon l’intéressé. Sa maison familiale a été rendue inutilisable par l’incendie.
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